Texte intégral
Le gouvernement partage l'émotion que vous ressentez après le prononcé d'une sentence d'une particulière cruauté et totalement disproportionnée. Tout comme les partenaires de l'Union, la France est prête à intervenir à Abou Dabi si la procédure en cours y oblige. Comme vous l'avez rappelé, un appel aura lieu, la cassation est possible et l'émir lui-même peut exercer son droit de grâce. Mais dans ce cas comme dans tous ceux dont il a à connaître, le gouvernement s'attachera à faire respecter les droits humains, avec constance./.
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 24 mars 2000)
(Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 24 mars 2000)