Texte intégral
Je vais faire un point sur les développements de nos activités depuis hier. Nous avons eu une série de présentation européenne d'abord avec, pour commencer, hier, le cocktail organisé, sous la présidence britannique, dans les locaux du Consulat Général de Grande-Bretagne, qui a rassemblé l'ensemble des intervenants européens. Ensuite, ce matin, nous avons eu un Conseil des affaires générales qui a rassemblé l'ensemble des ministres du Commerce extérieur avec, pour un certain nombre de pays, la participation des ministres de l'Agriculture. Notre ministre de l'Agriculture arrive demain matin, ce dont je me réjouis. Le ton de cette réunion de ce matin était très consensuel et tous les participants étaient unanimes pour souhaiter, d'une part, la fermeté de la Commission telle qu'elle avait été exposée par Peter Mandelson dans son compte-rendu et, d'autre part, pour souhaiter la réaffirmation de l'unité des 25 pays membres. La position de la Commission a été indiquée très clairement par le Commissaire Mandelson et par le Commissaire Fischenbaum à l'Agriculture.
Notre délégation a réaffirmé sa position à la fois en ce qui concerne la fermeté de la ligne, l'unité entre les 25 pays membres et les nécessaires équilibres, parallélismes et conditionnalités de nos offres. Notre prise de position a été confortée et renforcée par des représentants de nombreux Etats membres qui ont pris la parole après la France.
Par la suite, j'ai eu des échanges bilatéraux avec le représentant de la Zambie qui est le porte-parole du groupe des 33 et nous avons évoqué en particulier les questions qui sont liées au développement propre à la Zambie, et qui est le porte-parole des pays les moins avancés. Nous avons évoqué les questions particulières qui se posent pour les pays les moins avancés et notamment les traitements spéciaux et différentiels qu'il convient d'appliquer pour régler vraiment les problèmes des pays les moins avancés. Nous avons également discuté des partenariats économiques qui sont actuellement en cours de mise en place avec un certain nombre de pays africains et des difficultés particulières tenant notamment aux délais qui séparent la décision d'aide au développement de la mise en ?uvre avec le paiement des sommes qui sont consenties.
Ensuite, nous avons eu une discussion interne à la délégation avec la participation de l'ensemble des parlementaires dont un certain nombre sont présents autour de cette table et qui participent eux aussi à des réunions avec leurs homologues d'autres Etats-membres ainsi que d'autres pays représentatifs. Cela a été suivi d'un déjeuner entre les représentants des 149 Etats-membres qui a précédé l'ouverture de la séance officielle à quinze heures et qui a vu les interventions d'un certain nombre de représentants : le ministre Tsang de Hong Kong, le directeur général de l'OMC, le président de l'OMC et le Dr Supachai qui ont respectivement communiqué leurs messages principaux, qu'il se soit agi de la prise de risque, de l'accès au marché ou des subventions. C'étaient les trois grands points qui ont été évoqués par les représentants et les orateurs à la session plénière.
C'est ce qui couvre à peu près l'ensemble des développements intervenus pour notre délégation, sachant que nous avons eu également un Comité des 133 qui s'est tenu et qui a essentiellement évoqué des points de procédure et de mise en ?uvre de tenue des réunions à partir de maintenant.
source http://www.commerce-exterieur.gouv.fr, le 26 décembre 2005
Notre délégation a réaffirmé sa position à la fois en ce qui concerne la fermeté de la ligne, l'unité entre les 25 pays membres et les nécessaires équilibres, parallélismes et conditionnalités de nos offres. Notre prise de position a été confortée et renforcée par des représentants de nombreux Etats membres qui ont pris la parole après la France.
Par la suite, j'ai eu des échanges bilatéraux avec le représentant de la Zambie qui est le porte-parole du groupe des 33 et nous avons évoqué en particulier les questions qui sont liées au développement propre à la Zambie, et qui est le porte-parole des pays les moins avancés. Nous avons évoqué les questions particulières qui se posent pour les pays les moins avancés et notamment les traitements spéciaux et différentiels qu'il convient d'appliquer pour régler vraiment les problèmes des pays les moins avancés. Nous avons également discuté des partenariats économiques qui sont actuellement en cours de mise en place avec un certain nombre de pays africains et des difficultés particulières tenant notamment aux délais qui séparent la décision d'aide au développement de la mise en ?uvre avec le paiement des sommes qui sont consenties.
Ensuite, nous avons eu une discussion interne à la délégation avec la participation de l'ensemble des parlementaires dont un certain nombre sont présents autour de cette table et qui participent eux aussi à des réunions avec leurs homologues d'autres Etats-membres ainsi que d'autres pays représentatifs. Cela a été suivi d'un déjeuner entre les représentants des 149 Etats-membres qui a précédé l'ouverture de la séance officielle à quinze heures et qui a vu les interventions d'un certain nombre de représentants : le ministre Tsang de Hong Kong, le directeur général de l'OMC, le président de l'OMC et le Dr Supachai qui ont respectivement communiqué leurs messages principaux, qu'il se soit agi de la prise de risque, de l'accès au marché ou des subventions. C'étaient les trois grands points qui ont été évoqués par les représentants et les orateurs à la session plénière.
C'est ce qui couvre à peu près l'ensemble des développements intervenus pour notre délégation, sachant que nous avons eu également un Comité des 133 qui s'est tenu et qui a essentiellement évoqué des points de procédure et de mise en ?uvre de tenue des réunions à partir de maintenant.
source http://www.commerce-exterieur.gouv.fr, le 26 décembre 2005