Texte intégral
Madame la ministre,
Monsieur le sénateur,
Monsieur le maire,
Monsieur le Préfet,
Monsieur l'Ambassadeur,
Monsieur le Président du MILIA,
Mesdames et Messieurs,
Je suis heureux d'être présent à cette huitième édition du MILIA, aux côtés de la ministre de la Culture et de la Communication, Catherine TASCA. Tout au long de ma visite, j'ai mesuré, avec plaisir et intérêt, le dynamisme des entreprises évoluant dans le secteur du multimédia. Au détour des stands, j'ai eu l'occasion de rencontrer de nombreux jeunes créateurs, dont le talent et l'imagination préparent les succès à venir du multimédia. C'est pourquoi je me réjouis de remettre leur prix aux lauréats du Concours des Jeunes Créateurs 2001.
Ces prix consacrent le talent d'une jeunesse qui sait exprimer sa créativité à travers les nouveaux médias. Sites internet, jeux, vidéos, films interactifs, les quinze projets primés traduisent une grande curiosité d'esprit et une remarquable maîtrise des techniques, deux conditions nécessaires à la production de toute uvre. Ces projets mettent à profit des moyens d'expression fort variés -texte écrit, dessin, photographie, musique- combinés grâce à des savoir-faire multiples. Leur contenu -littérature, histoire, mathématiques, beaux-arts ou musique- nous touche et nous invite à approfondir notre découverte. Qu'ils aient vocation à transmettre un savoir ou à nourrir nos loisirs, ces projets constituent tous des créations culturelles et artistiques à part entière. Ils se distinguent les uns des autres dans les audaces de leurs jeunes créateurs.
Leur grande qualité reflète aussi l'excellence des lieux de formation aux technologies de l'information et de la communication. Ce concours récompense en effet des projets interactifs développés par des étudiants issus de formations multimédias ou de laboratoires de recherche. Il permet ainsi de souligner le rôle de tremplin vers le monde professionnel que peuvent jouer ces lieux de formation. Il montre également que l'éducation, loin d'être à la traîne des derniers développements technologiques, sait les accompagner. J'y vois la preuve de la vitalité du tissu de formation dans le secteur du multimédia.
La France figure en bonne place dans ce palmarès international. Ouvert aux jeunes du monde entier, ce concours a distingué, cette année encore, des lauréats issus de bien des points du globe. Le multimédia étant un phénomène mondial -quoique encore inégalement diffusé-, il est logique que ses plus brillants créateurs soient originaires de nombreux pays. Je me réjouis que la France compte quatre des quinze lauréats. En particulier, je suis heureux qu'à travers un des projets primés, l'écrivain français Georges PEREC, qui aimait tant la rigueur associée au jeu, trouve sa place dans ce palmarès. Ce lien renoué -et renouvelé- avec la littérature me semble le signe heureux que la France, grâce au talent de sa jeunesse, sans rien perdre de son patrimoine culturel, s'insère dans le flux de la modernité et sait faire preuve d'excellence dans les domaines les plus en pointe.
Mesdames et Messieurs,
Les diplômes que j'ai personnellement signés vont à présent être remis aux lauréats. A tous, j'adresse mes plus vives félicitations.
(source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 13 février 2001)
Monsieur le sénateur,
Monsieur le maire,
Monsieur le Préfet,
Monsieur l'Ambassadeur,
Monsieur le Président du MILIA,
Mesdames et Messieurs,
Je suis heureux d'être présent à cette huitième édition du MILIA, aux côtés de la ministre de la Culture et de la Communication, Catherine TASCA. Tout au long de ma visite, j'ai mesuré, avec plaisir et intérêt, le dynamisme des entreprises évoluant dans le secteur du multimédia. Au détour des stands, j'ai eu l'occasion de rencontrer de nombreux jeunes créateurs, dont le talent et l'imagination préparent les succès à venir du multimédia. C'est pourquoi je me réjouis de remettre leur prix aux lauréats du Concours des Jeunes Créateurs 2001.
Ces prix consacrent le talent d'une jeunesse qui sait exprimer sa créativité à travers les nouveaux médias. Sites internet, jeux, vidéos, films interactifs, les quinze projets primés traduisent une grande curiosité d'esprit et une remarquable maîtrise des techniques, deux conditions nécessaires à la production de toute uvre. Ces projets mettent à profit des moyens d'expression fort variés -texte écrit, dessin, photographie, musique- combinés grâce à des savoir-faire multiples. Leur contenu -littérature, histoire, mathématiques, beaux-arts ou musique- nous touche et nous invite à approfondir notre découverte. Qu'ils aient vocation à transmettre un savoir ou à nourrir nos loisirs, ces projets constituent tous des créations culturelles et artistiques à part entière. Ils se distinguent les uns des autres dans les audaces de leurs jeunes créateurs.
Leur grande qualité reflète aussi l'excellence des lieux de formation aux technologies de l'information et de la communication. Ce concours récompense en effet des projets interactifs développés par des étudiants issus de formations multimédias ou de laboratoires de recherche. Il permet ainsi de souligner le rôle de tremplin vers le monde professionnel que peuvent jouer ces lieux de formation. Il montre également que l'éducation, loin d'être à la traîne des derniers développements technologiques, sait les accompagner. J'y vois la preuve de la vitalité du tissu de formation dans le secteur du multimédia.
La France figure en bonne place dans ce palmarès international. Ouvert aux jeunes du monde entier, ce concours a distingué, cette année encore, des lauréats issus de bien des points du globe. Le multimédia étant un phénomène mondial -quoique encore inégalement diffusé-, il est logique que ses plus brillants créateurs soient originaires de nombreux pays. Je me réjouis que la France compte quatre des quinze lauréats. En particulier, je suis heureux qu'à travers un des projets primés, l'écrivain français Georges PEREC, qui aimait tant la rigueur associée au jeu, trouve sa place dans ce palmarès. Ce lien renoué -et renouvelé- avec la littérature me semble le signe heureux que la France, grâce au talent de sa jeunesse, sans rien perdre de son patrimoine culturel, s'insère dans le flux de la modernité et sait faire preuve d'excellence dans les domaines les plus en pointe.
Mesdames et Messieurs,
Les diplômes que j'ai personnellement signés vont à présent être remis aux lauréats. A tous, j'adresse mes plus vives félicitations.
(source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 13 février 2001)