Texte intégral
La situation de la communauté française au Sud Liban est très douloureuse. A Nabatieh, nous avons 68 Français réfugiés au Lycée français de Abbouche-Nabatieh qui ont pu être ramenés à Beyrouth grâce à un convoi sécurisé mis en place par notre ambassade à Beyrouth. Je voudrais saluer notre personnel qui travaille avec beaucoup de courage. A Tyr il y a 150 Français réfugiés depuis dix jours dans un hôtel dont les abords viennent d'être bombardés, aujourd'hui, et nous faisons tout pour les rapatrier à Beyrouth grâce aux moyens mis à la disposition par le gouvernement français.
Q - Certains Libanais craignent que l'évacuation des ressortissants étrangers ne cache quelque chose de plus grave à venir. Est-ce que vous pouvez les rassurer aujourd'hui ?
R - Nous ne voulons absolument pas une évacuation du Liban. Le Liban est un pays auquel nous croyons, avec lequel nous avons des liens historiques, culturels, des liens de coeur. Nous croyons à l'avenir du Liban. Nous serons là, aux côtés du peuple libanais, pour reconstruire ce pays comme nous l'avons dit, comme le président de la République l'a toujours dit.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 25 juillet 2006
Q - Certains Libanais craignent que l'évacuation des ressortissants étrangers ne cache quelque chose de plus grave à venir. Est-ce que vous pouvez les rassurer aujourd'hui ?
R - Nous ne voulons absolument pas une évacuation du Liban. Le Liban est un pays auquel nous croyons, avec lequel nous avons des liens historiques, culturels, des liens de coeur. Nous croyons à l'avenir du Liban. Nous serons là, aux côtés du peuple libanais, pour reconstruire ce pays comme nous l'avons dit, comme le président de la République l'a toujours dit.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 25 juillet 2006