Texte intégral
La situation en Côte d'Ivoire est très préoccupante. Nous avons aujourd'hui une seule volonté, que le processus engagé par les Nations unies, le Conseil de sécurité en particulier, aboutisse à la tenue d'élections transparentes, avec des listes électorales nouvelles et claires, qui nous permettent d'avoir une démocratie. S'il n'y a pas d'élections répondant à ces conditions, le droit international aura été bafoué.
Q - Si ce droit international est bafoué, y aura-t-il des sanctions ?
R - Il faudra, si le droit international est bafoué, ne pas avoir peur de dire ce que nous pensons au sein du Conseil de sécurité : c'est-à-dire qu'il faut des élections transparentes. S'il n'y a pas d'élections transparentes, alors, évidemment, il faudra sanctionner ceux qui n'en veulent pas.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 26 septembre 2006
Q - Si ce droit international est bafoué, y aura-t-il des sanctions ?
R - Il faudra, si le droit international est bafoué, ne pas avoir peur de dire ce que nous pensons au sein du Conseil de sécurité : c'est-à-dire qu'il faut des élections transparentes. S'il n'y a pas d'élections transparentes, alors, évidemment, il faudra sanctionner ceux qui n'en veulent pas.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 26 septembre 2006