Texte intégral
Je remercie M. Saad Hariri de m'avoir convié d'abord à une réunion de travail, puis, avec ma délégation, à un dîner amical. Je voudrais lui dire plus que jamais mon amitié, notre affection et notre soutien : soutien à cette majorité, à sa personne, à sa famille, au peuple libanais. Le peuple français soutient le peuple libanais. Nous avons abordé bien sûr la situation politique à la fois libanaise et régionale et je voudrais encore le remercier de son accueil.
Q - (Inaudible)
R - La France, tout d'abord, d'abord est présente sur le terrain, avec 1.600 hommes, dans le cadre de la résolution 1701 qu'elle a pour une large part contribué à rédiger, puis à faire adopter à l'unanimité du Conseil de sécurité des Nations unies, le 12 août dernier. La première phase de la mise en oeuvre de la résolution se fait correctement. Il faut maintenant mettre en oeuvre complètement cette résolution 1701, avec en particulier la conclusion d'un accord politique. Les bases d'un accord politique figurent dans la résolution 1701. Malheureusement aujourd'hui ce n'est pas le cas. Nous en parlons, nous travaillons, nous espérons qu'il y aura des avancées. Pour l'instant vous avez raison, il faut que le dialogue intra-libanais fonctionne. Il faut à tout prix que ce pays puisse s'en sortir par lui-même pour défendre sa souveraineté, son indépendance, son Etat de droit. La France, comme vous le savez, porte depuis toujours ces valeurs, en particulier aux côtés d'un pays ami comme le Liban.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 27 novembre 2006
Q - (Inaudible)
R - La France, tout d'abord, d'abord est présente sur le terrain, avec 1.600 hommes, dans le cadre de la résolution 1701 qu'elle a pour une large part contribué à rédiger, puis à faire adopter à l'unanimité du Conseil de sécurité des Nations unies, le 12 août dernier. La première phase de la mise en oeuvre de la résolution se fait correctement. Il faut maintenant mettre en oeuvre complètement cette résolution 1701, avec en particulier la conclusion d'un accord politique. Les bases d'un accord politique figurent dans la résolution 1701. Malheureusement aujourd'hui ce n'est pas le cas. Nous en parlons, nous travaillons, nous espérons qu'il y aura des avancées. Pour l'instant vous avez raison, il faut que le dialogue intra-libanais fonctionne. Il faut à tout prix que ce pays puisse s'en sortir par lui-même pour défendre sa souveraineté, son indépendance, son Etat de droit. La France, comme vous le savez, porte depuis toujours ces valeurs, en particulier aux côtés d'un pays ami comme le Liban.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 27 novembre 2006