Texte intégral
Aujourd'hui, la libération des infirmières et du médecin bulgares est une victoire des Droits de l'Homme. Les négociations ont été dures, et leur libération jusqu'au bout incertaine, mais l'important est qu'ils soient enfin libres.
Le rôle essentiel de la France dans cette libération, par l'action courageuse et sans relâche de Cécilia et Nicolas Sarkozy, rappelle que la France, berceau des Droits de l'Homme, a plus que n'importe quel autre pays un devoir en matière de défense des droits fondamentaux.
Je suis heureuse de voir qu'en ce domaine, la France est de retour. Je vois, dans l'implication personnelle du président de la République, un encouragement à relancer une politique ambitieuse en matière de Droits de l'Homme. Je pense notamment à toutes ces femmes encore privées de liberté pour avoir voulu affirmer leurs convictions. C'est le cas de la Birmane San Suu Kyi, qui mériterait que la France se penche plus sur son sort, ce que je compte bien faire.
Si avec le retour des infirmières à la liberté, une première bataille a été gagnée, le combat contre les atteintes aux Droits de l'Homme doit, plus que jamais, être poursuivi.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 25 juillet 2007