Texte intégral
La France se réjouit des résultats de la conférence des parties à la convention de Barcelone pour la protection du milieu marin et du littoral de Méditerranée qui s'est tenue du 15 au 18 janvier à Almeria.
Elle retient en particulier les avancées que constituent les décisions relatives au Plan d'action pour la Méditerranée et à la biodiversité (protection renforcée des tortues marines et des algues coralligènes).
Elle souligne l'importance de la "déclaration d'Almeria" qui se réfère à l'initiative de l'Union pour la Méditerranée, présentée par la délégation française, avec son volet "environnement et développement durable". Ce projet a donc pu ainsi bénéficier pour la première fois d'une reconnaissance officielle à l'échelle de la Méditerranée tout entière.
La "déclaration d'Almeria" a également abordé, avec l'étude de la capture et du stockage de CO2 dans les structures géologiques sous-marines, une piste novatrice particulièrement importante pour atténuer les effets du changement climatique.
La nécessité d'une ratification rapide du protocole relatif à la gestion intégrée des zones côtières (GIZC), soutenue par la France, est inscrite dans cette déclaration.
Ce protocole GIZC, qui protégera le littoral méditerranéen notamment avec un principe d'inconstructibilité dans la bande des 100 mètres reprenant le principe de la "Loi Littoral" française du 3 janvier 1986, a été signé à Madrid le 21 janvier 2008, par 14 pays. Il s'agit du premier instrument juridique international dans ce domaine. Il apporte la preuve que le Plan d'Action pour la Méditerranée peut continuer à jouer un rôle pionnier en matière de développement durable parmi les conventions de mers régionales.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 30 janvier 2008
Elle retient en particulier les avancées que constituent les décisions relatives au Plan d'action pour la Méditerranée et à la biodiversité (protection renforcée des tortues marines et des algues coralligènes).
Elle souligne l'importance de la "déclaration d'Almeria" qui se réfère à l'initiative de l'Union pour la Méditerranée, présentée par la délégation française, avec son volet "environnement et développement durable". Ce projet a donc pu ainsi bénéficier pour la première fois d'une reconnaissance officielle à l'échelle de la Méditerranée tout entière.
La "déclaration d'Almeria" a également abordé, avec l'étude de la capture et du stockage de CO2 dans les structures géologiques sous-marines, une piste novatrice particulièrement importante pour atténuer les effets du changement climatique.
La nécessité d'une ratification rapide du protocole relatif à la gestion intégrée des zones côtières (GIZC), soutenue par la France, est inscrite dans cette déclaration.
Ce protocole GIZC, qui protégera le littoral méditerranéen notamment avec un principe d'inconstructibilité dans la bande des 100 mètres reprenant le principe de la "Loi Littoral" française du 3 janvier 1986, a été signé à Madrid le 21 janvier 2008, par 14 pays. Il s'agit du premier instrument juridique international dans ce domaine. Il apporte la preuve que le Plan d'Action pour la Méditerranée peut continuer à jouer un rôle pionnier en matière de développement durable parmi les conventions de mers régionales.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 30 janvier 2008