Texte intégral
Ce fut une très longue et très amicale rencontre pendant laquelle nous avons évoqué les relations entre le Venezuela et la France, mais pas seulement. Nous avons aussi envisagé la libération des otages des FARC qui doit se produire dans quelques jours ou quelques semaines.
Le président Chavez nous a dit qu'il y avait un quatrième otage qui serait libéré et non pas seulement trois ; nous sommes très heureux de cela.
Nous savons quel rôle important joue le président Chavez dans la libération des otages et peut-être dans d'autres libérations, que nous avons beaucoup espérées.
Demain, nous allons en Colombie, nous parlerons au président Uribe.
Vous le savez, il y a eu aussi cette idée d'un groupe de pays qui pourraient jouer un rôle pour l'apaisement des tensions et pour la libération d'un certain nombre de prisonniers malades.
Nous avons également parlé des relations commerciales, de tous les rapports qui existent entre nos deux pays, la France et le Venezuela, et de beaucoup de terrains sur lesquels nous pourrions peut-être nous déployer ensemble. Nous en avons parlé, avec beaucoup d'espérance pour ces projets.
Q - Il pourrait donc se produire une quatrième libération ? Qui cela peut-il être ? Un parlementaire ? Et quand ?
R - Je pense que c'est le président Chavez qui vous le dira. Je peux dire qu'en effet c'est un parlementaire ; mais, en tout cas, c'est un progrès très important parce que chaque otage qui échappe à des conditions épouvantables de vie fournit beaucoup d'espoir, d'abord pour les autres otages et pour qu'éventuellement on trouve le chemin de la paix.
Nous attendons donc les libérations avec beaucoup de joie.
Q - Est-ce que c'est pour bientôt ?
R - Personne ne sait si cela se produira dans quelques jours ou dans quelques semaines. Ce sont nos amis vénézuéliens qui feront connaître ces conditions précisément. Nous, nous sommes très heureux de cette nouvelle et en espérons d'autres.
Q - Quel serait le soutien du gouvernement français pour la libération des otages ?
R - C'est un soutien constant et nous avons des rapports permanents. Encore une fois, nous remercions le président Chavez de ses efforts qui ont été très importants dans la libération des deux femmes que vous connaissez.
Nous avons aussi rencontré les familles des trois otages qui devraient être libérés. Je vous assure que c'est un bonheur et une joie de les voir attendre - pas en vain - mais d'attendre quelque chose qui va se produire dans quelques jours.
Je crois que rien que cette rencontre justifiait, en plus évidemment de la chaleur de la rencontre avec le président Chavez, qu'on vienne les voir, vous voir, et que nous revenions vous voir.
Q - Vous avez donc rencontré les familles des otages ?
R - Oui je les ai rencontrées.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 25 février 2008
Le président Chavez nous a dit qu'il y avait un quatrième otage qui serait libéré et non pas seulement trois ; nous sommes très heureux de cela.
Nous savons quel rôle important joue le président Chavez dans la libération des otages et peut-être dans d'autres libérations, que nous avons beaucoup espérées.
Demain, nous allons en Colombie, nous parlerons au président Uribe.
Vous le savez, il y a eu aussi cette idée d'un groupe de pays qui pourraient jouer un rôle pour l'apaisement des tensions et pour la libération d'un certain nombre de prisonniers malades.
Nous avons également parlé des relations commerciales, de tous les rapports qui existent entre nos deux pays, la France et le Venezuela, et de beaucoup de terrains sur lesquels nous pourrions peut-être nous déployer ensemble. Nous en avons parlé, avec beaucoup d'espérance pour ces projets.
Q - Il pourrait donc se produire une quatrième libération ? Qui cela peut-il être ? Un parlementaire ? Et quand ?
R - Je pense que c'est le président Chavez qui vous le dira. Je peux dire qu'en effet c'est un parlementaire ; mais, en tout cas, c'est un progrès très important parce que chaque otage qui échappe à des conditions épouvantables de vie fournit beaucoup d'espoir, d'abord pour les autres otages et pour qu'éventuellement on trouve le chemin de la paix.
Nous attendons donc les libérations avec beaucoup de joie.
Q - Est-ce que c'est pour bientôt ?
R - Personne ne sait si cela se produira dans quelques jours ou dans quelques semaines. Ce sont nos amis vénézuéliens qui feront connaître ces conditions précisément. Nous, nous sommes très heureux de cette nouvelle et en espérons d'autres.
Q - Quel serait le soutien du gouvernement français pour la libération des otages ?
R - C'est un soutien constant et nous avons des rapports permanents. Encore une fois, nous remercions le président Chavez de ses efforts qui ont été très importants dans la libération des deux femmes que vous connaissez.
Nous avons aussi rencontré les familles des trois otages qui devraient être libérés. Je vous assure que c'est un bonheur et une joie de les voir attendre - pas en vain - mais d'attendre quelque chose qui va se produire dans quelques jours.
Je crois que rien que cette rencontre justifiait, en plus évidemment de la chaleur de la rencontre avec le président Chavez, qu'on vienne les voir, vous voir, et que nous revenions vous voir.
Q - Vous avez donc rencontré les familles des otages ?
R - Oui je les ai rencontrées.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 25 février 2008