Texte intégral
Le Premier ministre a présenté une communication relative à la présidence française du Conseil de l'Union européenne.
Il a d'abord rappelé l'état de préparation de cette présidence : le Président de la République a précisé ses grands objectifs et approuvé la liste des principales manifestations. Les contacts nécessaires ont été pris depuis plusieurs mois, tant avec les institutions européennes qu'avec les États membres.
Le Premier ministre a ensuite indiqué les axes de l'important travail qui reste à faire, travail pour lequel il a demandé la mobilisation de tout le Gouvernement.
Il faut continuer à travailler sur les quatre grandes priorités définies par le Président de la République (développement durable et énergie, pacte européen sur l'immigration et l'asile, relance de l'Europe de la défense, bilan de santé et avenir de la politique agricole commune), mais également sur les autres sujets importants qui attendent la présidence française, comme la politique pour la croissance et l'emploi, y compris les mesures en faveur des PME, l'agenda social rénové, la fiscalité, la politique culturelle, les transports ou les télécommunications.
Il faut aussi achever l'organisation des événements programmés en France, avec un double objectif : une présidence européenne qui soit proche des citoyens et qui allie efficacité de l'action et responsabilité concernant les dépenses publiques.
Le Premier ministre a souligné à quel point cette présidence suscite l'intérêt de nos partenaires, car elle coïncidera avec la période de ratification du traité de Lisbonne par les États membres et se déroulera dans un contexte international incertain, tant du point de vue politique qu'économique et financier.
Il a d'abord rappelé l'état de préparation de cette présidence : le Président de la République a précisé ses grands objectifs et approuvé la liste des principales manifestations. Les contacts nécessaires ont été pris depuis plusieurs mois, tant avec les institutions européennes qu'avec les États membres.
Le Premier ministre a ensuite indiqué les axes de l'important travail qui reste à faire, travail pour lequel il a demandé la mobilisation de tout le Gouvernement.
Il faut continuer à travailler sur les quatre grandes priorités définies par le Président de la République (développement durable et énergie, pacte européen sur l'immigration et l'asile, relance de l'Europe de la défense, bilan de santé et avenir de la politique agricole commune), mais également sur les autres sujets importants qui attendent la présidence française, comme la politique pour la croissance et l'emploi, y compris les mesures en faveur des PME, l'agenda social rénové, la fiscalité, la politique culturelle, les transports ou les télécommunications.
Il faut aussi achever l'organisation des événements programmés en France, avec un double objectif : une présidence européenne qui soit proche des citoyens et qui allie efficacité de l'action et responsabilité concernant les dépenses publiques.
Le Premier ministre a souligné à quel point cette présidence suscite l'intérêt de nos partenaires, car elle coïncidera avec la période de ratification du traité de Lisbonne par les États membres et se déroulera dans un contexte international incertain, tant du point de vue politique qu'économique et financier.