Texte intégral
Le secrétaire d'État chargé des sports, de la jeunesse et de la vie associative a présenté une communication relative au bilan des Jeux olympiques de Pékin.
Le bilan de la délégation française est satisfaisant.
Avec 40 médailles, dont 7 d'or, 16 d'argent et 17 de bronze, la France a rempli les objectifs qu'elle s'était fixés avant le début des Jeux et s'est classée, en nombre total de médailles, à la 7ème place parmi les 204 nations participantes. Ces médailles ont été remportées dans un grand nombre de disciplines : sur les 22 fédérations françaises représentées à Pékin, 16 ont été médaillées.
Par ailleurs, les Jeux de Pékin ont révélé une nouvelle génération de champions français, avec notamment de jeunes médaillés en lutte gréco-romaine, en escrime, en natation, en boxe, en gymnastique ou dans la discipline du bicross (BMX).
Les Jeux olympiques ont cependant été aussi marqués par trois déceptions pour la France :
- le nombre de médailles d'or obtenues a été insuffisant. Avec 7 victoires, la France ne se situe qu'à la 10ème place des nations olympiques, en deçà du rang qu'elle occupait en 2004 à Athènes (7ème place, 11 médailles d'or) ;
- la performance générale de nos athlètes féminines est également préoccupante. Sur 40 médailles, seules 7 ont été remportées par des femmes (contre 16 médailles sur 33 à Athènes) ;
- l'athlétisme a constitué une autre grande déception, avec une seule médaille française.
Ces contre-performances conduisent à s'interroger sur la façon d'améliorer les résultats des sportifs français lors des prochaines épreuves olympiques.
Un bilan partagé entre les fédérations sportives, le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) et le ministère sera réalisé. Ce travail permettra d'engager la réforme du sport de haut niveau français qui s'impose. Les principaux chantiers concerneront, notamment, la réforme des statuts de l'Institut national du sport et de l'éducation physique (INSEP), la redéfinition des filières d'accès au haut niveau, la concentration des efforts sur les athlètes de haut niveau les plus compétitifs et la revalorisation de l'expertise dans la gouvernance du haut niveau français.
Le bilan de la délégation française est satisfaisant.
Avec 40 médailles, dont 7 d'or, 16 d'argent et 17 de bronze, la France a rempli les objectifs qu'elle s'était fixés avant le début des Jeux et s'est classée, en nombre total de médailles, à la 7ème place parmi les 204 nations participantes. Ces médailles ont été remportées dans un grand nombre de disciplines : sur les 22 fédérations françaises représentées à Pékin, 16 ont été médaillées.
Par ailleurs, les Jeux de Pékin ont révélé une nouvelle génération de champions français, avec notamment de jeunes médaillés en lutte gréco-romaine, en escrime, en natation, en boxe, en gymnastique ou dans la discipline du bicross (BMX).
Les Jeux olympiques ont cependant été aussi marqués par trois déceptions pour la France :
- le nombre de médailles d'or obtenues a été insuffisant. Avec 7 victoires, la France ne se situe qu'à la 10ème place des nations olympiques, en deçà du rang qu'elle occupait en 2004 à Athènes (7ème place, 11 médailles d'or) ;
- la performance générale de nos athlètes féminines est également préoccupante. Sur 40 médailles, seules 7 ont été remportées par des femmes (contre 16 médailles sur 33 à Athènes) ;
- l'athlétisme a constitué une autre grande déception, avec une seule médaille française.
Ces contre-performances conduisent à s'interroger sur la façon d'améliorer les résultats des sportifs français lors des prochaines épreuves olympiques.
Un bilan partagé entre les fédérations sportives, le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) et le ministère sera réalisé. Ce travail permettra d'engager la réforme du sport de haut niveau français qui s'impose. Les principaux chantiers concerneront, notamment, la réforme des statuts de l'Institut national du sport et de l'éducation physique (INSEP), la redéfinition des filières d'accès au haut niveau, la concentration des efforts sur les athlètes de haut niveau les plus compétitifs et la revalorisation de l'expertise dans la gouvernance du haut niveau français.