Texte intégral
Compte tenu de la dégradation de la situation sanitaire au Zimbabwe et de l'extension de l'épidémie de choléra dans ce pays, Bernard Kouchner a demandé au Centre de crise du ministère des Affaires étrangères et européennes de mobiliser nos capacités de réponse.
Cet effort se traduit dès maintenant par une première aide d'un montant de 200 000 euros qui sera apportée aux organisations présentes sur place, en particulier la Croix Rouge, afin de leur permettre d'intervenir sans délai dans le domaine de la prévention et du traitement de la maladie notamment sous forme de sels de ré-hydratation, de kits de potabilisation et de pastilles de traitement de l'eau.
L'envoi de personnel français est également prévu en liaison avec les ONG concernées, le Bureau de la coordination des Affaires humanitaires (BCAH), l'Organisation mondiale de la santé, les experts du programme européen ECHO et notre ambassadeur au Zimbabwe.
Le ministère des Affaires étrangères et européennes a également approché des entreprises spécialisées dans le secteur du traitement de l'eau dans le but d'assurer la fourniture ou la réhabilitation de stations d'épuration d'eau permettant un traitement de gros volumes d'eaux usées et la mise en place de points de distribution.
Par ailleurs, le Comité politique et de sécurité de l'Union européenne a examiné aujourd'hui la situation au Zimbabwe. Nous sommes en liaison avec nos partenaires pour étudier les modalités d'une réponse européenne.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 8 décembre 2008
Cet effort se traduit dès maintenant par une première aide d'un montant de 200 000 euros qui sera apportée aux organisations présentes sur place, en particulier la Croix Rouge, afin de leur permettre d'intervenir sans délai dans le domaine de la prévention et du traitement de la maladie notamment sous forme de sels de ré-hydratation, de kits de potabilisation et de pastilles de traitement de l'eau.
L'envoi de personnel français est également prévu en liaison avec les ONG concernées, le Bureau de la coordination des Affaires humanitaires (BCAH), l'Organisation mondiale de la santé, les experts du programme européen ECHO et notre ambassadeur au Zimbabwe.
Le ministère des Affaires étrangères et européennes a également approché des entreprises spécialisées dans le secteur du traitement de l'eau dans le but d'assurer la fourniture ou la réhabilitation de stations d'épuration d'eau permettant un traitement de gros volumes d'eaux usées et la mise en place de points de distribution.
Par ailleurs, le Comité politique et de sécurité de l'Union européenne a examiné aujourd'hui la situation au Zimbabwe. Nous sommes en liaison avec nos partenaires pour étudier les modalités d'une réponse européenne.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 8 décembre 2008