Texte intégral
La ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche a présenté une communication sur le passage aux compétences élargies de 20 universités au 1er janvier 2009.
Ces universités représentent le quart des universités françaises, près de 315 000 étudiants et 32 000 emplois, pour un budget consolidé de 1,8 Mdeuros. Elles sont par ailleurs représentatives de la diversité des universités françaises, tant sur le plan de la répartition sur le territoire national, que de la discipline ou de la taille.
Les universités devenues autonomes géreront dorénavant, dans un budget global, la masse salariale de l'ensemble des personnels sur emplois statutaires de l'Etat, alors que leur marge de manoeuvre ne portait, jusqu'à présent, que sur seulement 25 % de leur budget réel. Elles pourront mettre en oeuvre leur politique en matière de formation et de recherche et disposer de souplesses supplémentaires aussi bien au plan financier que sur le plan de la gestion des ressources humaines.
Trente cinq universités souhaitant bénéficier des compétences élargies au 1er janvier 2010 feront l'objet d'un audit au cours de l'année 2009 pour s'assurer de leurs compétences et capacités à gérer un budget global.
Trop longtemps retardée, la réforme de l'autonomie des universités se trouve aujourd'hui concrétisée. Elle a été accompagnée d'un effort budgétaire sans précédent consenti par le Gouvernement et d'un dialogue social intense mené avec l'ensemble des acteurs concernés. Au moment où les incertitudes économiques sont fortes, la France prépare l'avenir, en donnant notamment aux universités françaises les moyens et les outils pour se hisser au meilleur niveau dans la compétition internationale.
Ces universités représentent le quart des universités françaises, près de 315 000 étudiants et 32 000 emplois, pour un budget consolidé de 1,8 Mdeuros. Elles sont par ailleurs représentatives de la diversité des universités françaises, tant sur le plan de la répartition sur le territoire national, que de la discipline ou de la taille.
Les universités devenues autonomes géreront dorénavant, dans un budget global, la masse salariale de l'ensemble des personnels sur emplois statutaires de l'Etat, alors que leur marge de manoeuvre ne portait, jusqu'à présent, que sur seulement 25 % de leur budget réel. Elles pourront mettre en oeuvre leur politique en matière de formation et de recherche et disposer de souplesses supplémentaires aussi bien au plan financier que sur le plan de la gestion des ressources humaines.
Trente cinq universités souhaitant bénéficier des compétences élargies au 1er janvier 2010 feront l'objet d'un audit au cours de l'année 2009 pour s'assurer de leurs compétences et capacités à gérer un budget global.
Trop longtemps retardée, la réforme de l'autonomie des universités se trouve aujourd'hui concrétisée. Elle a été accompagnée d'un effort budgétaire sans précédent consenti par le Gouvernement et d'un dialogue social intense mené avec l'ensemble des acteurs concernés. Au moment où les incertitudes économiques sont fortes, la France prépare l'avenir, en donnant notamment aux universités françaises les moyens et les outils pour se hisser au meilleur niveau dans la compétition internationale.