Texte intégral
Le secrétaire d'État chargé de l'industrie et de la consommation, porte-parole du Gouvernement, a présenté une communication relative aux États généraux de l'automobile.
L'industrie automobile, qui est un secteur stratégique pour notre économie, l'emploi et les territoires, traverse une période clé. La crise économique pèse lourdement sur la demande, à un moment où l'industrie automobile doit se réinventer pour relever les défis environnementaux et énergétiques et prendre en compte l'évolution des modes de consommation.
Le Président de la République a confié à Luc Chatel une mission sur l'avenir de l'industrie automobile, en lui demandant de proposer les mesures structurelles permettant d'assurer l'avenir de notre outil industriel et de préserver l'emploi et les compétences.
Une première étape des Etats généraux de l'automobile s'est tenue le 20 janvier. Avec près de 1 000 participants, l'ensemble des acteurs de la filière a été réuni.
Lors de cette journée, des analyses de fond ont été collectivement élaborées autour de 4 thèmes principaux : les innovations technologiques ; la compétitivité de l'outil industriel en France ; la préservation et le développement de l'emploi et des compétences ; le tissu industriel.
Cet événement a débouché sur des résultats immédiats tels la création d'un fonds d'investissement de 300 Meuros afin notamment d'aider au développement et à la consolidation des équipementiers, des mesures concrètes sur la mise en oeuvre du « plan véhicule décarboné » et le lancement de projets phares. On pose ainsi les bases du « verdissement » de l'industrie automobile pour construire dès aujourd'hui la voiture propre de demain.
Dans les prochains jours, il s'agit d'accélérer le déploiement au niveau régional de la charte automobile sur l'emploi et les compétences, de finaliser la négociation sur le financement complémentaire pour les acteurs de la filière, en cohérence avec le plan de relance européen et de mettre en place un code de bonnes pratiques et de performance.
L'Etat et les acteurs de la filière automobile sont à présent engagés dans une dynamique de long terme. Les Etats généraux de l'automobile vont se poursuivre avec l'ensemble des acteurs pour élaborer un plan durable d'amélioration de la compétitivité structurelle de notre industrie automobile.
L'industrie automobile, qui est un secteur stratégique pour notre économie, l'emploi et les territoires, traverse une période clé. La crise économique pèse lourdement sur la demande, à un moment où l'industrie automobile doit se réinventer pour relever les défis environnementaux et énergétiques et prendre en compte l'évolution des modes de consommation.
Le Président de la République a confié à Luc Chatel une mission sur l'avenir de l'industrie automobile, en lui demandant de proposer les mesures structurelles permettant d'assurer l'avenir de notre outil industriel et de préserver l'emploi et les compétences.
Une première étape des Etats généraux de l'automobile s'est tenue le 20 janvier. Avec près de 1 000 participants, l'ensemble des acteurs de la filière a été réuni.
Lors de cette journée, des analyses de fond ont été collectivement élaborées autour de 4 thèmes principaux : les innovations technologiques ; la compétitivité de l'outil industriel en France ; la préservation et le développement de l'emploi et des compétences ; le tissu industriel.
Cet événement a débouché sur des résultats immédiats tels la création d'un fonds d'investissement de 300 Meuros afin notamment d'aider au développement et à la consolidation des équipementiers, des mesures concrètes sur la mise en oeuvre du « plan véhicule décarboné » et le lancement de projets phares. On pose ainsi les bases du « verdissement » de l'industrie automobile pour construire dès aujourd'hui la voiture propre de demain.
Dans les prochains jours, il s'agit d'accélérer le déploiement au niveau régional de la charte automobile sur l'emploi et les compétences, de finaliser la négociation sur le financement complémentaire pour les acteurs de la filière, en cohérence avec le plan de relance européen et de mettre en place un code de bonnes pratiques et de performance.
L'Etat et les acteurs de la filière automobile sont à présent engagés dans une dynamique de long terme. Les Etats généraux de l'automobile vont se poursuivre avec l'ensemble des acteurs pour élaborer un plan durable d'amélioration de la compétitivité structurelle de notre industrie automobile.