Texte intégral
Le 31 mars 1999, Monsieur Lionel Jospin a reçu, en présence de Monsieur Jean-Pierre Masseret, secrétaire d'Etat à la défense, chargé des anciens combattants, les présidents de cinq associations d'anciens combattants composant le Front Uni :
- M. Serge Cours, président de l'Union fédérale des associations françaises d'anciens combattants et victimes de guerre (UF),
- M. Hugues Dalleau, président de l'Union nationale des combattants (UNC),
- M. Georges Doussin, président de l'association républicaine des anciens combattants (ARAC),
- M. Jacques Goujat, président de la Fédération nationale des combattants prisonniers de guerre et combattants en Algérie, Tunisie et Maroc (FNCPG-CATM),
- M. Wladyslas Marek, président de la Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie (FNACA).
Au cours de cet entretien ont été abordées un certain nombre de questions liées à la reconnaissance de la Nation et aux divers droits à réparation, notamment pour la génération de la guerre d'Algérie.
Dans les circonstances présentes, le Premier ministre et les présidents des associations ont souligné la portée symbolique qu'a prise cette audience alors que des soldats français sont engagés dans des opérations militaires et à la veille de la commémoration du 80ème anniversaire du vote de la loi du 31 mars 1919 sur les pensions militaires d'invalidité.
- M. Serge Cours, président de l'Union fédérale des associations françaises d'anciens combattants et victimes de guerre (UF),
- M. Hugues Dalleau, président de l'Union nationale des combattants (UNC),
- M. Georges Doussin, président de l'association républicaine des anciens combattants (ARAC),
- M. Jacques Goujat, président de la Fédération nationale des combattants prisonniers de guerre et combattants en Algérie, Tunisie et Maroc (FNCPG-CATM),
- M. Wladyslas Marek, président de la Fédération nationale des anciens combattants en Algérie, Maroc et Tunisie (FNACA).
Au cours de cet entretien ont été abordées un certain nombre de questions liées à la reconnaissance de la Nation et aux divers droits à réparation, notamment pour la génération de la guerre d'Algérie.
Dans les circonstances présentes, le Premier ministre et les présidents des associations ont souligné la portée symbolique qu'a prise cette audience alors que des soldats français sont engagés dans des opérations militaires et à la veille de la commémoration du 80ème anniversaire du vote de la loi du 31 mars 1919 sur les pensions militaires d'invalidité.