Texte intégral
Je suis très heureux d'être présent parmi vous, ce matin, afin d'officialiser, avec Nadine MORANO, la création d'un numéro d'urgence européen pour les enfants disparus : le 116 000.
De quoi s'agit-il ?
Il s'agit d'un nouveau dispositif qui va permettre :
- aux familles d'enfants disparus d'obtenir des informations, une écoute et un soutien ;
- mais aussi d'assurer un meilleur suivi de leurs dossiers et ce, en collaboration avec les administrations compétentes : le ministère de l'intérieur, celui de la justice, celui du travail et également celui de l'outre-mer.
Ce nouveau numéro possède plusieurs avantages :
- la coordination à l'échelle européenne : en effet, un seul et même numéro s'appliquera à l'ensemble des pays de l'Union européenne et permettra, ainsi, notamment à des visiteurs d'autres pays de l'UE de bénéficier d'un numéro unique avec une écoute possible en plusieurs langues ;
- la gratuité : ce numéro ne coûtera strictement rien à l'appelant ;
- la disponibilité : ce numéro sera, en effet, opérationnel 7 jours sur 7 et 24h/24.
Concrètement, quel sera le rôle de chacun des signataires de la convention que nous officialisons aujourd'hui ?
1 - Tout d'abord, premier acteur : l'Institut national d'aide aux victimes et de médiation, l'INAVEM, qui assurera l'accueil et l'écoute au service des familles grâce à une plate-forme téléphonique.
2- La plate-forme transmettra, ensuite, l'appel et les coordonnées des parents à SOS Enfants disparus, c'est-à-dire à notre deuxième acteur : la Fondation pour l'enfance. Celle-ci assurera l'orientation vers les administrations, le suivi des dossiers tout au long des procédures et l'accompagnement dans toutes les démarches que devront mener les parents à la recherche de leur enfant.
Vous l'aurez compris, ce numéro 116 000 constitue une triple avancée :
- un exemple concret de ce que l'Europe, unie, peut permettre d'accomplir pour aider ses concitoyens ;
- un soutien humain apporté par des fondations et instituts aussi exemplaires que les vôtres ;
- enfin, un message de la solidarité que le Gouvernement peut apporter aux familles touchées par les grandes difficultés de la vie.Source http://www.travail-solidarite.gouv.fr, le 2 juin 2009
De quoi s'agit-il ?
Il s'agit d'un nouveau dispositif qui va permettre :
- aux familles d'enfants disparus d'obtenir des informations, une écoute et un soutien ;
- mais aussi d'assurer un meilleur suivi de leurs dossiers et ce, en collaboration avec les administrations compétentes : le ministère de l'intérieur, celui de la justice, celui du travail et également celui de l'outre-mer.
Ce nouveau numéro possède plusieurs avantages :
- la coordination à l'échelle européenne : en effet, un seul et même numéro s'appliquera à l'ensemble des pays de l'Union européenne et permettra, ainsi, notamment à des visiteurs d'autres pays de l'UE de bénéficier d'un numéro unique avec une écoute possible en plusieurs langues ;
- la gratuité : ce numéro ne coûtera strictement rien à l'appelant ;
- la disponibilité : ce numéro sera, en effet, opérationnel 7 jours sur 7 et 24h/24.
Concrètement, quel sera le rôle de chacun des signataires de la convention que nous officialisons aujourd'hui ?
1 - Tout d'abord, premier acteur : l'Institut national d'aide aux victimes et de médiation, l'INAVEM, qui assurera l'accueil et l'écoute au service des familles grâce à une plate-forme téléphonique.
2- La plate-forme transmettra, ensuite, l'appel et les coordonnées des parents à SOS Enfants disparus, c'est-à-dire à notre deuxième acteur : la Fondation pour l'enfance. Celle-ci assurera l'orientation vers les administrations, le suivi des dossiers tout au long des procédures et l'accompagnement dans toutes les démarches que devront mener les parents à la recherche de leur enfant.
Vous l'aurez compris, ce numéro 116 000 constitue une triple avancée :
- un exemple concret de ce que l'Europe, unie, peut permettre d'accomplir pour aider ses concitoyens ;
- un soutien humain apporté par des fondations et instituts aussi exemplaires que les vôtres ;
- enfin, un message de la solidarité que le Gouvernement peut apporter aux familles touchées par les grandes difficultés de la vie.Source http://www.travail-solidarite.gouv.fr, le 2 juin 2009