Texte intégral
J.-M. Aphatie.- D. Bussereau, bonjour.
Bonjour, J.-M. Apathie.
Il faut actuellement trois ans à un automobiliste pour récupérer, au cas où il les aurait tous perdus, les douze points de son permis de conduire. Le mois dernier, les sénateurs ont souhaité ramener ce délai à un an. Et la semaine dernière, la Commission des lois de l'Assemblée nationale a jugé que deux ans seraient un bon délai. Les députés doivent examiner cette question à partir de demain en séance plénière. Le Gouvernement n'a pas donné de position définitive sur le sujet. Quelle est-elle, D. Bussereau ?
Alors un an plus deux ans égalent trois ans...
C'est juste...
Ça veut dire que la position du Gouvernement sera de rester à trois ans.
Malgré le souhait des parlementaires ?
Malgré le souhait des parlementaires. J'ai sous les yeux la lettre que le président de la Prévention routière, B. Potier, a adressé au Président : "C'est clair : un signal de semi-tolérance serait interprété comme un relâchement de la politique et rendrait les automobilistes moins sensibles au respect du code de la route". Nous le croyons vraiment.
Donc rien ne bougera ?
Rien ne bougera, il y aura un geste. C'est naturellement, B. Hortefeux qui sera là mardi à l'Assemblée nationale. Ce sera l'article 28 du projet de loi sur la sécurité intérieure. Ce geste sera, c'est important, s'il est voté, le geste que pourrait, qu'acceptera le Gouvernement, c'est une récupération automatique d'un point par an. Ce qui n'existe pas pour l'instant. C'est-à-dire qu'on reste toujours aux trois ans, mais chaque année, si vous ne commettez pas d'infraction, il y a un point qui revient automatiquement.
Alors, les parlementaires ne voulaient pas faire ça par démagogie, mais pour lutter - notamment, entre autres choses - contre le fait que des gens qui n'ont pas leurs points, qui n'ont plus de points, qui doivent attendre trois ans pour les récupérer, conduisent sans permis.
Vous savez, la conduite sans permis, ce n'est pas tellement les gens qui ont perdu leur permis. En réalité, ce sont les gens qui ne l'ont jamais passé. On entend tout le temps dans la presse, un monsieur qui à 60 ans, a conduit depuis quarante ans, sans accident, parce qu'en réalité, ceux là font très attention pour ne pas être arrêté. C'est plutôt cela la réalité de la conduite sans permis. Il y a bien sûr quelques personnes qui ont perdu leurs permis, et qui conduisent quand même, mais c'est une minorité dans toutes les statistiques de police et de gendarmerie.
C'était quoi, un petit geste électoral que voulaient faire les parlementaires ?
Écoutez, vous savez, tout le monde, on a tous autour de soi des membres de sa famille, des amis, des proches qui ont de problèmes de permis. Donc c'était un geste politique. Les parlementaires sont là pour être à l'écoute de leurs électeurs, à l'écoute également des difficultés de la vie quotidienne. Ne plus avoir de permis c'est une vraie difficulté de la vie quotidienne. Voilà, le président de la République l'a dit vendredi dans l'Yonne, je le confirme : "On reste sur les règles, mais il y aura ce geste de la récupération d'un point par an, qui est un geste qui sera accepté par le Gouvernement, si un amendement parlementaire est déposé dans ce sens". On peut penser qu'un amendement parlementaire sera déposé en ce sens.
On peut le penser, et pour le reste la position du Gouvernement est claire, du moins avec vous, D. Bussereau. Les ports français du moins de Marseille, sont bloqués. La Corse n'a plus d'essence...
... Plus de gasoil...
Plus de gasoil, plus d'essence non ?
Non l'essence ça va. C'est le gasoil qui manque.
En France... en France ! Pardon, hou, la la, c'est un lapsus que je ne voulais pas faire...
Sur le continent...
Sur le continent, risquons-nous la pénurie d'essence ?
Non, il faut expliquer aux auditeurs de RTL qu'on n'est au bout d'une réforme des ports. Qu'on avait des ports en France qui sont Sète, Dunkerque, Rouen, Le Havre, La Rochelle, Bordeaux, Nantes et Marseille, qui n'étaient plus dans la course européenne. Donc on a fait une grande réforme des ports, pour remettre grosso modo tout le monde un peu mieux au travail.
.. Que les dockers refusent, c'est pour cela qu'ils sont en grève.
Non, les dockers, ils ont déjà été touchés par la réforme. Il y a eu deux ministres socialistes très courageux, qui étaient M. Delebarre et J.-Y. Le Drian qui avaient fait, en 1992, la réforme des dockers, mais ils n'avaient pas été jusqu'au bout. Il y avait à faire la réforme des manutentionnaires pour faire l'unité de commandement et de productivité sur les quais. Ce qu'on a fait, on est donc au bout du processus. Au bout d'un processus social ça gratouille un peu. Et comme il y a en plus ce débat sur les retraites, eh bien ça gratouille fort. Ce matin, à Marseille, le trafic a repris en ce concerne les conteneurs, les bateaux, les marchandises diverses. Il reste un problème à régler sur la raffinerie. Les négociations vont commencer tout à l'heure.
Vous n'êtes pas trop inquiet visiblement ?
Non, je ne suis pas inquiet, parce que cette réforme, il la faut, sinon la France perd son rôle de grande puissance exportatrice, elle n'est plus capable d'avoir des ports en état de fonctionnement et compétitifs.
D'un mot, D. Bussereau, la direction de la SNCF vous demande pour continuer à financer des lignes Corail déficitaires, d'avoir plus de liberté pour augmenter ses billets de TGV. Allez-vous lui accorder cette liberté, Dominique Bussereau ?
J'y suis favorable. Les compagnies aériennes font ce qu'elles veulent avec les billets ; si vous allez à Marseille, vous prenez Air France, Ryanair, Easyjet, vous pouvez jouer sur les prix, etc. La SNCF est dans la concurrence sur la plupart des distances. Qu'elle ait une liberté sur ses prix commerciaux, je ne parle pas du transport public, du TER, du Francilien, transport obligatoire, où là en effet, il doit y avoir un encadrement. Mais là qu'elle ait une liberté, là où elle est concurrence, encore plus en première classe, où c'est une clientèle d'affaire.
Sur le TGV, il n'y a pas beaucoup de concurrence...
Elle est en concurrence avec l'automobile individuelle, avec l'avion...
Oui, là d'accord...
...Vous pouvez aller à Bordeaux en...
Mais vous n'avez pas deux compagnies de trains...
...Par exemple vous allez à La Rochelle, trois heures, vous pouvez y aller en voiture, vous pouvez prendre l'avion par Bordeaux...
Oui, là c'est sûr... Mais si je veux prendre le train, c'est la SNCF !
Oui, si vous voulez prendre le train, c'est la SNCF, sauf que vous pouvez prendre parfois un avion moins cher que le train. Donc, la SNCF sera en concurrence, mais la concurrence jouera plutôt sur les prix de la première classe, et on va demander à la SNCF d'émettre beaucoup de billets Prem's qui sont ces billets pas chers, que l'on prend très à l'avance, qui sont appréciés par les familles, par les jeunes, et tous ceux qui veulent prendre le train à bas prix. Donc ce sera un peu l'équilibre que nous allons demander à la SNCF.
Vous fixez une limite à la direction de la SNCF pour l'augmentation de ces billets ?
La limite du bon sens. Parce que si on augmente trop, il n'y a plus de clients.
D'accord, le bon sens, alors chacun évaluera le bon sens comme il l'entend. Vous êtes membre du Gouvernement, D. Bussereau, depuis huit ans, depuis mai 2002. Ça fait presque huit ans et demi, même. Ça fait un bail. Un remaniement est annoncé. Ferez-vous partie de la nouvelle équipe ? Non...
Non. Vous quittez le Gouvernement ?
Je vais quitter le Gouvernement, je l'ai dit au président de la République, au Premier ministre. Je ne suis pas fâché, je suis en accord complet avec la ligne politique du Président, je le soutiendrais s'il est candidat à fond en 2012. Mais je pense qu'au bout de huit ans et demi, j'ai dit ça hier en Charente-Maritime, il faut se "re-ioder", c'est-à-dire prendre un peu d'air, se régénérer.
Se "re-ioder"... De iode...
Il y a deux ministres comme moi qui sont là depuis 8 ans et demi : M. Alliot-Marie et J.-L. Borloo. Eux, ils ont l'intention de rester, moi j'ai l'intention de redevenir député. Je reprends mes cours à Sciences- Po, voilà... de mener une vie normale et puis de m'occuper de mon département de la Charente-Maritime encore plus.
C'est ça, M. Alliot-Marie et J.-L. Borloo ne veulent pas faire comme vous ?
Eh non.
Eh non. Qu'est-ce qu'ils vont faire, vous le savez ?
Écoutez, je n'en sais rien. Je lis qu'il y a une liste d'attente qui commence quelque part rue Varenne et qui va jusqu'à la rue Saint- Honoré pour entrer à Matignon. Je ne suis pas sûr que le Premier ministre ait envie de partir. Et puis, c'est au président de la République de décider qui sera son successeur. Tous les gens qu'on cite sont des gens de qualité, voilà. Le Président décidera.
Vous savez quand, aura lieu le remaniement Dominique Bussereau ?
Non, je n'en sais rien.
Et si vous le saviez, vous nous le diriez pas ?
Si je le savais, A. Duhamel, l'aurait déjà annoncé.
D. Bussereau, ancien secrétaire d'État aux Transports était l'invité de RTL ce matin.
V. Parizot : Voilà, futur ancien secrétaire d'État aux Transports, et bientôt re-iodé".
Source : Premier ministre, Service d'Information du Gouvernement, le 4 octobre 2010
Bonjour, J.-M. Apathie.
Il faut actuellement trois ans à un automobiliste pour récupérer, au cas où il les aurait tous perdus, les douze points de son permis de conduire. Le mois dernier, les sénateurs ont souhaité ramener ce délai à un an. Et la semaine dernière, la Commission des lois de l'Assemblée nationale a jugé que deux ans seraient un bon délai. Les députés doivent examiner cette question à partir de demain en séance plénière. Le Gouvernement n'a pas donné de position définitive sur le sujet. Quelle est-elle, D. Bussereau ?
Alors un an plus deux ans égalent trois ans...
C'est juste...
Ça veut dire que la position du Gouvernement sera de rester à trois ans.
Malgré le souhait des parlementaires ?
Malgré le souhait des parlementaires. J'ai sous les yeux la lettre que le président de la Prévention routière, B. Potier, a adressé au Président : "C'est clair : un signal de semi-tolérance serait interprété comme un relâchement de la politique et rendrait les automobilistes moins sensibles au respect du code de la route". Nous le croyons vraiment.
Donc rien ne bougera ?
Rien ne bougera, il y aura un geste. C'est naturellement, B. Hortefeux qui sera là mardi à l'Assemblée nationale. Ce sera l'article 28 du projet de loi sur la sécurité intérieure. Ce geste sera, c'est important, s'il est voté, le geste que pourrait, qu'acceptera le Gouvernement, c'est une récupération automatique d'un point par an. Ce qui n'existe pas pour l'instant. C'est-à-dire qu'on reste toujours aux trois ans, mais chaque année, si vous ne commettez pas d'infraction, il y a un point qui revient automatiquement.
Alors, les parlementaires ne voulaient pas faire ça par démagogie, mais pour lutter - notamment, entre autres choses - contre le fait que des gens qui n'ont pas leurs points, qui n'ont plus de points, qui doivent attendre trois ans pour les récupérer, conduisent sans permis.
Vous savez, la conduite sans permis, ce n'est pas tellement les gens qui ont perdu leur permis. En réalité, ce sont les gens qui ne l'ont jamais passé. On entend tout le temps dans la presse, un monsieur qui à 60 ans, a conduit depuis quarante ans, sans accident, parce qu'en réalité, ceux là font très attention pour ne pas être arrêté. C'est plutôt cela la réalité de la conduite sans permis. Il y a bien sûr quelques personnes qui ont perdu leurs permis, et qui conduisent quand même, mais c'est une minorité dans toutes les statistiques de police et de gendarmerie.
C'était quoi, un petit geste électoral que voulaient faire les parlementaires ?
Écoutez, vous savez, tout le monde, on a tous autour de soi des membres de sa famille, des amis, des proches qui ont de problèmes de permis. Donc c'était un geste politique. Les parlementaires sont là pour être à l'écoute de leurs électeurs, à l'écoute également des difficultés de la vie quotidienne. Ne plus avoir de permis c'est une vraie difficulté de la vie quotidienne. Voilà, le président de la République l'a dit vendredi dans l'Yonne, je le confirme : "On reste sur les règles, mais il y aura ce geste de la récupération d'un point par an, qui est un geste qui sera accepté par le Gouvernement, si un amendement parlementaire est déposé dans ce sens". On peut penser qu'un amendement parlementaire sera déposé en ce sens.
On peut le penser, et pour le reste la position du Gouvernement est claire, du moins avec vous, D. Bussereau. Les ports français du moins de Marseille, sont bloqués. La Corse n'a plus d'essence...
... Plus de gasoil...
Plus de gasoil, plus d'essence non ?
Non l'essence ça va. C'est le gasoil qui manque.
En France... en France ! Pardon, hou, la la, c'est un lapsus que je ne voulais pas faire...
Sur le continent...
Sur le continent, risquons-nous la pénurie d'essence ?
Non, il faut expliquer aux auditeurs de RTL qu'on n'est au bout d'une réforme des ports. Qu'on avait des ports en France qui sont Sète, Dunkerque, Rouen, Le Havre, La Rochelle, Bordeaux, Nantes et Marseille, qui n'étaient plus dans la course européenne. Donc on a fait une grande réforme des ports, pour remettre grosso modo tout le monde un peu mieux au travail.
.. Que les dockers refusent, c'est pour cela qu'ils sont en grève.
Non, les dockers, ils ont déjà été touchés par la réforme. Il y a eu deux ministres socialistes très courageux, qui étaient M. Delebarre et J.-Y. Le Drian qui avaient fait, en 1992, la réforme des dockers, mais ils n'avaient pas été jusqu'au bout. Il y avait à faire la réforme des manutentionnaires pour faire l'unité de commandement et de productivité sur les quais. Ce qu'on a fait, on est donc au bout du processus. Au bout d'un processus social ça gratouille un peu. Et comme il y a en plus ce débat sur les retraites, eh bien ça gratouille fort. Ce matin, à Marseille, le trafic a repris en ce concerne les conteneurs, les bateaux, les marchandises diverses. Il reste un problème à régler sur la raffinerie. Les négociations vont commencer tout à l'heure.
Vous n'êtes pas trop inquiet visiblement ?
Non, je ne suis pas inquiet, parce que cette réforme, il la faut, sinon la France perd son rôle de grande puissance exportatrice, elle n'est plus capable d'avoir des ports en état de fonctionnement et compétitifs.
D'un mot, D. Bussereau, la direction de la SNCF vous demande pour continuer à financer des lignes Corail déficitaires, d'avoir plus de liberté pour augmenter ses billets de TGV. Allez-vous lui accorder cette liberté, Dominique Bussereau ?
J'y suis favorable. Les compagnies aériennes font ce qu'elles veulent avec les billets ; si vous allez à Marseille, vous prenez Air France, Ryanair, Easyjet, vous pouvez jouer sur les prix, etc. La SNCF est dans la concurrence sur la plupart des distances. Qu'elle ait une liberté sur ses prix commerciaux, je ne parle pas du transport public, du TER, du Francilien, transport obligatoire, où là en effet, il doit y avoir un encadrement. Mais là qu'elle ait une liberté, là où elle est concurrence, encore plus en première classe, où c'est une clientèle d'affaire.
Sur le TGV, il n'y a pas beaucoup de concurrence...
Elle est en concurrence avec l'automobile individuelle, avec l'avion...
Oui, là d'accord...
...Vous pouvez aller à Bordeaux en...
Mais vous n'avez pas deux compagnies de trains...
...Par exemple vous allez à La Rochelle, trois heures, vous pouvez y aller en voiture, vous pouvez prendre l'avion par Bordeaux...
Oui, là c'est sûr... Mais si je veux prendre le train, c'est la SNCF !
Oui, si vous voulez prendre le train, c'est la SNCF, sauf que vous pouvez prendre parfois un avion moins cher que le train. Donc, la SNCF sera en concurrence, mais la concurrence jouera plutôt sur les prix de la première classe, et on va demander à la SNCF d'émettre beaucoup de billets Prem's qui sont ces billets pas chers, que l'on prend très à l'avance, qui sont appréciés par les familles, par les jeunes, et tous ceux qui veulent prendre le train à bas prix. Donc ce sera un peu l'équilibre que nous allons demander à la SNCF.
Vous fixez une limite à la direction de la SNCF pour l'augmentation de ces billets ?
La limite du bon sens. Parce que si on augmente trop, il n'y a plus de clients.
D'accord, le bon sens, alors chacun évaluera le bon sens comme il l'entend. Vous êtes membre du Gouvernement, D. Bussereau, depuis huit ans, depuis mai 2002. Ça fait presque huit ans et demi, même. Ça fait un bail. Un remaniement est annoncé. Ferez-vous partie de la nouvelle équipe ? Non...
Non. Vous quittez le Gouvernement ?
Je vais quitter le Gouvernement, je l'ai dit au président de la République, au Premier ministre. Je ne suis pas fâché, je suis en accord complet avec la ligne politique du Président, je le soutiendrais s'il est candidat à fond en 2012. Mais je pense qu'au bout de huit ans et demi, j'ai dit ça hier en Charente-Maritime, il faut se "re-ioder", c'est-à-dire prendre un peu d'air, se régénérer.
Se "re-ioder"... De iode...
Il y a deux ministres comme moi qui sont là depuis 8 ans et demi : M. Alliot-Marie et J.-L. Borloo. Eux, ils ont l'intention de rester, moi j'ai l'intention de redevenir député. Je reprends mes cours à Sciences- Po, voilà... de mener une vie normale et puis de m'occuper de mon département de la Charente-Maritime encore plus.
C'est ça, M. Alliot-Marie et J.-L. Borloo ne veulent pas faire comme vous ?
Eh non.
Eh non. Qu'est-ce qu'ils vont faire, vous le savez ?
Écoutez, je n'en sais rien. Je lis qu'il y a une liste d'attente qui commence quelque part rue Varenne et qui va jusqu'à la rue Saint- Honoré pour entrer à Matignon. Je ne suis pas sûr que le Premier ministre ait envie de partir. Et puis, c'est au président de la République de décider qui sera son successeur. Tous les gens qu'on cite sont des gens de qualité, voilà. Le Président décidera.
Vous savez quand, aura lieu le remaniement Dominique Bussereau ?
Non, je n'en sais rien.
Et si vous le saviez, vous nous le diriez pas ?
Si je le savais, A. Duhamel, l'aurait déjà annoncé.
D. Bussereau, ancien secrétaire d'État aux Transports était l'invité de RTL ce matin.
V. Parizot : Voilà, futur ancien secrétaire d'État aux Transports, et bientôt re-iodé".
Source : Premier ministre, Service d'Information du Gouvernement, le 4 octobre 2010