Texte intégral
Pour la Grèce, la quote-part de la France sera de 16,8 milliards, conformément à la dernière loi de finances rectificative, dont 8,1 ont déjà été versés. Pour l'Irlande, la garantie de la France sur la facilité européenne de stabilité financière atteindra 6,5 milliards sur trois ans et, pour le Portugal, 9,1 milliards.
Selon Eurostat, ces garanties seront neutres en termes de déficit public au sens de Maastricht ; Bruxelles a fait savoir que l'augmentation de la dette publique liée aux programmes d'assistance financière ne sera pas comptabilisée dans les procédures pour déficit ou dette excessifs. J'ajoute que l'assistance de la facilité européenne est assortie de fortes conditionnalités.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 14 juin 2011