Texte intégral
Ayant participé au déplacement du président de la République dans le Caucase du sud, comme vous-même, Monsieur le Député, je pense pouvoir rappeler les propos exacts tenus par le président à loccasion des trois étapes quil a effectuées, en Arménie, Azerbaïdjan et Géorgie.
Cette visite, vous avez raison, a eu un très grand retentissement dans le Caucase du sud, région souvent négligée sur le plan international alors même que, stratégiquement, cest certainement un secteur essentiel pour lavenir, qui a été ravagé au cours des siècles par nombre de violences, dinvasions et de guerres.
En Géorgie, devant 100.000 personnes réunies sur la place de la Liberté, le président de la République na fait que rappeler quelle avait été laction menée au mois daoût 2008 pour préserver lintégrité territoriale de ce pays et les engagements pris à ce moment-là par les différents acteurs des événements, et que ces engagements devaient être respectés au niveau géographique bien sûr, mais aussi au niveau politique.
En Arménie, le président a effectivement déclaré que la France avait reconnu le génocide arménien, que la Turquie shonorerait, parce que cétait un grand pays, partenaire et ami de la France, à revisiter son histoire, quil ne sagissait pas de fixer un délai en tant que tel parce que lon faisait confiance aux autorités turques, mais que, si elles ne faisaient rien, on modifierait alors les textes.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 13 octobre 2011
Cette visite, vous avez raison, a eu un très grand retentissement dans le Caucase du sud, région souvent négligée sur le plan international alors même que, stratégiquement, cest certainement un secteur essentiel pour lavenir, qui a été ravagé au cours des siècles par nombre de violences, dinvasions et de guerres.
En Géorgie, devant 100.000 personnes réunies sur la place de la Liberté, le président de la République na fait que rappeler quelle avait été laction menée au mois daoût 2008 pour préserver lintégrité territoriale de ce pays et les engagements pris à ce moment-là par les différents acteurs des événements, et que ces engagements devaient être respectés au niveau géographique bien sûr, mais aussi au niveau politique.
En Arménie, le président a effectivement déclaré que la France avait reconnu le génocide arménien, que la Turquie shonorerait, parce que cétait un grand pays, partenaire et ami de la France, à revisiter son histoire, quil ne sagissait pas de fixer un délai en tant que tel parce que lon faisait confiance aux autorités turques, mais que, si elles ne faisaient rien, on modifierait alors les textes.
Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 13 octobre 2011