Texte intégral
Le Secrétaire Général de la Présidence de la République a reçu hier le Président de l'entreprise Néosécurité et les représentants des organisations syndicales de l'entreprise.
Le dossier Néosécurité est suivi depuis décembre 2010 par le Comité Interministériel pour les Restructuration Industrielles (CIRI).
La société Néosécurité a ainsi bénéficié d'un important moratoire sur ses créances publiques, dans le cadre de la mise en place d'un plan de sauvegarde adopté fin 2011. Les nouveaux passifs publics constitués par l'entreprise depuis le début de l'année n'ont pas fait l'objet d'un recouvrement.
Par ailleurs le CIRI a appuyé la société Néosécurité dans sa recherche d'investisseurs, et continuera à le faire.
L'État mettra tout en uvre pour assurer la pérennité des emplois et des activités de l'entreprise. A cet effet, l'État est disposé à consentir un effort financier supplémentaire et à mobiliser les structures d'appui au financement en fonds propres des entreprises. Ce soutien est conditionné à la présentation d'un plan d'amélioration de la gestion de l'entreprise et à l'intervention d'investisseurs financiers ou industriels pour appuyer un tel projet.
L'État veillera par ailleurs à ce que les instances représentatives du personnel soient mise en place et fonctionnent normalement afin de garantir un bon niveau d'information des représentants des salariés sur la situation de l'entreprise.
Le dossier Néosécurité est suivi depuis décembre 2010 par le Comité Interministériel pour les Restructuration Industrielles (CIRI).
La société Néosécurité a ainsi bénéficié d'un important moratoire sur ses créances publiques, dans le cadre de la mise en place d'un plan de sauvegarde adopté fin 2011. Les nouveaux passifs publics constitués par l'entreprise depuis le début de l'année n'ont pas fait l'objet d'un recouvrement.
Par ailleurs le CIRI a appuyé la société Néosécurité dans sa recherche d'investisseurs, et continuera à le faire.
L'État mettra tout en uvre pour assurer la pérennité des emplois et des activités de l'entreprise. A cet effet, l'État est disposé à consentir un effort financier supplémentaire et à mobiliser les structures d'appui au financement en fonds propres des entreprises. Ce soutien est conditionné à la présentation d'un plan d'amélioration de la gestion de l'entreprise et à l'intervention d'investisseurs financiers ou industriels pour appuyer un tel projet.
L'État veillera par ailleurs à ce que les instances représentatives du personnel soient mise en place et fonctionnent normalement afin de garantir un bon niveau d'information des représentants des salariés sur la situation de l'entreprise.