Texte intégral
Je voulais visiter ce centre du Programme alimentaire mondial, en liaison avec les autorités du Niger, parce qu'il y a, comme vous le savez, des problèmes de malnutrition importants. Ce qui est fait ici, avec l'aide la communauté internationale et grâce au gouvernement du Niger, est un excellent travail qui vise à aider les mères de familles et les enfants, pour éviter qu'ils tombent dans la malnutrition qui entraîne souvent toute une série de problèmes.
C'est un travail utile, vous l'avez vu, les gens qui s'en occupent sont extrêmement dévoués. La question de bien nourrir les Nigériens est un aspect essentiel. C'est ce que fait le gouvernement, avec le programme qu'il a lancé : «les 3N». C'est vraiment ce qui est nécessaire dans un pays qui connaît un tel taux de natalité, il faut arriver à contrôler ce taux, comme on peut, mais en même temps, à nourrir les gens. C'est ce qui est fait grâce à l'aide internationale et la France y contribue, à l'initiative du gouvernement du Niger.
Q - (sur la contribution de la France à la lutte contre l'insécurité alimentaire au Niger)
R - Nous y contribuons essentiellement par des mesures financières, notamment à travers le Programme alimentaire mondial. Nous soutenons également d'autres organisations mondiales et européennes qui financent ces aides dans une large part. Nous conduisons par ailleurs des actions spécifiques, mais il s'agit essentiellement d'une aide financière.
Une des remarques importantes qui a été faite par la responsable du programme était de dire que l'on pouvait lier la sécurité et la sécurité alimentaire. Il est évident que plus la sécurité sera assurée, moins on aura de personnes déplacées. En revanche, s'il y a des problèmes de sécurité, cela veut dire qu'il y a des régions entières où il y a des difficultés alimentaires supplémentaires. Il est donc très important que la sécurité soit assurée. Cela nous renvoie à d'autres problèmes que l'on va aborder dans le cadre de ma visite. Mais je sais que le gouvernement du Niger se préoccupe énormément des questions de sécurité.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 2 août 2012
C'est un travail utile, vous l'avez vu, les gens qui s'en occupent sont extrêmement dévoués. La question de bien nourrir les Nigériens est un aspect essentiel. C'est ce que fait le gouvernement, avec le programme qu'il a lancé : «les 3N». C'est vraiment ce qui est nécessaire dans un pays qui connaît un tel taux de natalité, il faut arriver à contrôler ce taux, comme on peut, mais en même temps, à nourrir les gens. C'est ce qui est fait grâce à l'aide internationale et la France y contribue, à l'initiative du gouvernement du Niger.
Q - (sur la contribution de la France à la lutte contre l'insécurité alimentaire au Niger)
R - Nous y contribuons essentiellement par des mesures financières, notamment à travers le Programme alimentaire mondial. Nous soutenons également d'autres organisations mondiales et européennes qui financent ces aides dans une large part. Nous conduisons par ailleurs des actions spécifiques, mais il s'agit essentiellement d'une aide financière.
Une des remarques importantes qui a été faite par la responsable du programme était de dire que l'on pouvait lier la sécurité et la sécurité alimentaire. Il est évident que plus la sécurité sera assurée, moins on aura de personnes déplacées. En revanche, s'il y a des problèmes de sécurité, cela veut dire qu'il y a des régions entières où il y a des difficultés alimentaires supplémentaires. Il est donc très important que la sécurité soit assurée. Cela nous renvoie à d'autres problèmes que l'on va aborder dans le cadre de ma visite. Mais je sais que le gouvernement du Niger se préoccupe énormément des questions de sécurité.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 2 août 2012