Texte intégral
1. Vous êtes encore peu connu du grand public, pouvez-vous vous présenter ?
Il est en effet peu fréquent qu'un élu du Gers devienne ministre. La dernière fois, c'était en 1933. Plus sérieusement, je suis passionné par l'écologie qui est devenue dans mon département ma pratique quotidienne.
Je retrouve aujourd'hui les locaux d'un ministère que je connais bien puisque j'y ai travaillé en tant que chef de cabinet auprès de Roger Quilliot puis de Paul Quilès au cours du premier septennat de François Mitterrand. J'ajoute que l'Hôtel de Roquelaure tient son nom d'une célèbre famille gasconne qui avait donné sous l'ancien régime, deux maréchaux à la France.
Aujourd'hui en charge de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, je vais mettre à profit mon expérience d'élu de terrain et d'ancien Préfet au service de nos concitoyens, de nos entreprises et de la biodiversité.
2. Quels seront vos premiers rendez-vous et vos priorités ?
Le dialogue et la concertation font partie intégrante de ma méthode de travail, je ne vais pas en changer à presque 60 ans.
Dans les prochaines semaines, je rencontrerai les acteurs des secteurs de l'environnement et de l'énergie, entreprises, ONG et syndicats notamment.
Je réunirai également les directeurs de mon administration afin d'échanger avec eux, de leur exprimer ma confiance et mon admiration devant l'expertise et le travail qu'ils accomplissent au quotidien avec leurs équipes.
Très vite, je vais m'atteler aux chantiers complexes mais passionnants du ministère : la transition énergétique, la fiscalité écologique et les investissements d'avenir, la préparation de la conférence environnementale des 20 et 21 septembre 2013, la réforme du code minier et la modernisation du droit de l'environnement, les tarifs de l'énergie, la part du nucléaire, la biodiversité, la politique de l'eau, sont à l'agenda de mes priorités.
J'aurai à cur de rester au contact des préoccupations des Français en me déplaçant dans les régions, en métropole et dans nos outremers, régulièrement.
L'Europe est aussi un enjeu et la place de la France y est majeure en matière d'environnement et d'énergie. Je rencontrerai rapidement mes homologues en charge de ces thématiques ainsi que les commissaires européens en charge du Climat et de l'Environnement.
3. Quel message pour les lecteurs de Gouvernement.fr ?
L'écologie est une exigence absolue et elle reste une priorité de l'action du Gouvernement ; des décisions imminentes confirmeront cet engagement.
La nécessité de transformer de manière écologique notre mode de vie, nos modes de production et de consommation est essentielle. J'entends les inquiétudes de la population vis-à-vis des urgences sociales avec des enjeux écologiques qui ont parfois plus de mal à être compris.
Je veux convaincre les Français que la protection de l'environnement et la transition énergétique joueront un rôle essentiel dans la création d'emplois et de valeur, qu'il s'agisse de rénovation énergétique ou de création de nouvelles filières industrielles plus respectueuses de notre environnement.
Je veux convaincre que l'écologie, le développement durable sont l'horizon nouveau de la jeunesse.
Source http://www.gouvernement.fr, le 19 juillet 2013
Il est en effet peu fréquent qu'un élu du Gers devienne ministre. La dernière fois, c'était en 1933. Plus sérieusement, je suis passionné par l'écologie qui est devenue dans mon département ma pratique quotidienne.
Je retrouve aujourd'hui les locaux d'un ministère que je connais bien puisque j'y ai travaillé en tant que chef de cabinet auprès de Roger Quilliot puis de Paul Quilès au cours du premier septennat de François Mitterrand. J'ajoute que l'Hôtel de Roquelaure tient son nom d'une célèbre famille gasconne qui avait donné sous l'ancien régime, deux maréchaux à la France.
Aujourd'hui en charge de l'écologie, du développement durable et de l'énergie, je vais mettre à profit mon expérience d'élu de terrain et d'ancien Préfet au service de nos concitoyens, de nos entreprises et de la biodiversité.
2. Quels seront vos premiers rendez-vous et vos priorités ?
Le dialogue et la concertation font partie intégrante de ma méthode de travail, je ne vais pas en changer à presque 60 ans.
Dans les prochaines semaines, je rencontrerai les acteurs des secteurs de l'environnement et de l'énergie, entreprises, ONG et syndicats notamment.
Je réunirai également les directeurs de mon administration afin d'échanger avec eux, de leur exprimer ma confiance et mon admiration devant l'expertise et le travail qu'ils accomplissent au quotidien avec leurs équipes.
Très vite, je vais m'atteler aux chantiers complexes mais passionnants du ministère : la transition énergétique, la fiscalité écologique et les investissements d'avenir, la préparation de la conférence environnementale des 20 et 21 septembre 2013, la réforme du code minier et la modernisation du droit de l'environnement, les tarifs de l'énergie, la part du nucléaire, la biodiversité, la politique de l'eau, sont à l'agenda de mes priorités.
J'aurai à cur de rester au contact des préoccupations des Français en me déplaçant dans les régions, en métropole et dans nos outremers, régulièrement.
L'Europe est aussi un enjeu et la place de la France y est majeure en matière d'environnement et d'énergie. Je rencontrerai rapidement mes homologues en charge de ces thématiques ainsi que les commissaires européens en charge du Climat et de l'Environnement.
3. Quel message pour les lecteurs de Gouvernement.fr ?
L'écologie est une exigence absolue et elle reste une priorité de l'action du Gouvernement ; des décisions imminentes confirmeront cet engagement.
La nécessité de transformer de manière écologique notre mode de vie, nos modes de production et de consommation est essentielle. J'entends les inquiétudes de la population vis-à-vis des urgences sociales avec des enjeux écologiques qui ont parfois plus de mal à être compris.
Je veux convaincre les Français que la protection de l'environnement et la transition énergétique joueront un rôle essentiel dans la création d'emplois et de valeur, qu'il s'agisse de rénovation énergétique ou de création de nouvelles filières industrielles plus respectueuses de notre environnement.
Je veux convaincre que l'écologie, le développement durable sont l'horizon nouveau de la jeunesse.
Source http://www.gouvernement.fr, le 19 juillet 2013