Texte intégral
La ministre de lécologie, du développement durable et de lénergie et la ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes ont présenté une communication relative à la priorité accordée à la préservation dun environnement plus sain, source de santé et de bien-être.
Lenvironnement joue un rôle majeur sur la santé et sa dégradation entraine des atteintes parfois très graves à la santé. Le Plan national santé-environnement propose dévaluer de manière globale ces expositions, et de mobiliser tous les acteurs concernés pour les réduire, autour de 10 actions :
- La valorisation des effets positifs de la nature en ville et des jardins thérapeutiques ;
- La prévention du risque dallergie liée aux pollens ;
- Lévaluation des risques liés à lamiante naturel ;
-Lamélioration de la qualité de lenvironnement sonore ;
- Lamélioration de la qualité de leau destinée à la consommation ;
- La vigilance sur les risques potentiels liés aux nanomatériaux ;
- La réduction de lexposition aux perturbateurs endocriniens ;
- Le contrôle et la restriction progressive de lusage des pesticides ;
-La prévention de lexposition à la pollution des sols dans les écoles ;
- Lévaluation des risques de lexposition aux ondes électromagnétiques.
Ce plan fera lobjet dune déclinaison dans chaque région, en partenariat entre lÉtat et les conseils régionaux, afin de mobiliser les acteurs territoriaux sur la base dexpérimentations volontaires.
Ces mesures viennent compléter celles inscrites dans la loi de transition énergétique pour la croissance verte, qui prévoit notamment des actions en faveur de la qualité de lair par :
- le déploiement de véhicules propres dans les flottes publiques, et limplantation systématiquement de points de charge pour les véhicules électriques dans les bâtiments publics et privés ;
- la mise en place dune prime à la conversion des véhicules les plus polluants en véhicules propres.
Par ailleurs, plusieurs mesures de réduction de lusage des produits phyto-pharmaceutiques ont été prises, avec le ministre chargé de lagriculture, depuis le printemps dernier :
- l'interdiction de l'épandage aérien en compter de fin 2015 ;
- l'interdiction de l'utilisation de pesticides dans les espaces verts et jardins publics à partir de fin 2016, et l'incitation des collectivités locales à passer au « zéro phytos » ;
- l'encadrement des épandages de pesticides à proximité des écoles.
Enfin, la ministre de lécologie, du développement durable et de lénergie a annoncé, le 15 octobre dernier, des mesures pour améliorer la qualité de lenvironnement sonore comme :
- la mise à disposition du public dune application sur le site internet du ministère sur les 15 points à vérifier en matière de bruit dans les logements ;
- la publication dun guide pour améliorer lacoustique des crèches et des écoles ;
- lélaboration de la carte des points noirs du bruit des axes de transports routiers et laccélération des travaux de protection des riverains pour les infrastructures de lEtat et de ses établissements.
La France restera très active auprès de la Commission européenne pour que les substances chimiques les plus préoccupantes soient interdites et que des solutions technologiques saines et innovantes, sources de croissance verte soient promues.
Cette politique ambitieuse place la France à la pointe des pays développés en matière de santé-environnement, et contribue ainsi pleinement à la préservation dun cadre de vie dexception, source dattractivité des talents et des projets du territoire français dans la compétition mondiale.
La Conférence Environnementale des 27 et 28 novembre, présidée par le Président de la République, se saisira de ce thème et permettra de développer des champs dactions nouveaux et prometteurs, tels que la valorisation des effets positifs de la biodiversité sur la santé, qui viendront compléter le plan.Le plan national santé-environnement a été construit en partenariat avec les partenaires sociaux, les collectivités, les associations de consommateurs et de protection de lenvironnement, les entreprises et des experts, au terme dun riche processus de démocratie participative.
Lenvironnement joue un rôle majeur sur la santé et sa dégradation entraine des atteintes parfois très graves à la santé. Le Plan national santé-environnement propose dévaluer de manière globale ces expositions, et de mobiliser tous les acteurs concernés pour les réduire, autour de 10 actions :
- La valorisation des effets positifs de la nature en ville et des jardins thérapeutiques ;
- La prévention du risque dallergie liée aux pollens ;
- Lévaluation des risques liés à lamiante naturel ;
-Lamélioration de la qualité de lenvironnement sonore ;
- Lamélioration de la qualité de leau destinée à la consommation ;
- La vigilance sur les risques potentiels liés aux nanomatériaux ;
- La réduction de lexposition aux perturbateurs endocriniens ;
- Le contrôle et la restriction progressive de lusage des pesticides ;
-La prévention de lexposition à la pollution des sols dans les écoles ;
- Lévaluation des risques de lexposition aux ondes électromagnétiques.
Ce plan fera lobjet dune déclinaison dans chaque région, en partenariat entre lÉtat et les conseils régionaux, afin de mobiliser les acteurs territoriaux sur la base dexpérimentations volontaires.
Ces mesures viennent compléter celles inscrites dans la loi de transition énergétique pour la croissance verte, qui prévoit notamment des actions en faveur de la qualité de lair par :
- le déploiement de véhicules propres dans les flottes publiques, et limplantation systématiquement de points de charge pour les véhicules électriques dans les bâtiments publics et privés ;
- la mise en place dune prime à la conversion des véhicules les plus polluants en véhicules propres.
Par ailleurs, plusieurs mesures de réduction de lusage des produits phyto-pharmaceutiques ont été prises, avec le ministre chargé de lagriculture, depuis le printemps dernier :
- l'interdiction de l'épandage aérien en compter de fin 2015 ;
- l'interdiction de l'utilisation de pesticides dans les espaces verts et jardins publics à partir de fin 2016, et l'incitation des collectivités locales à passer au « zéro phytos » ;
- l'encadrement des épandages de pesticides à proximité des écoles.
Enfin, la ministre de lécologie, du développement durable et de lénergie a annoncé, le 15 octobre dernier, des mesures pour améliorer la qualité de lenvironnement sonore comme :
- la mise à disposition du public dune application sur le site internet du ministère sur les 15 points à vérifier en matière de bruit dans les logements ;
- la publication dun guide pour améliorer lacoustique des crèches et des écoles ;
- lélaboration de la carte des points noirs du bruit des axes de transports routiers et laccélération des travaux de protection des riverains pour les infrastructures de lEtat et de ses établissements.
La France restera très active auprès de la Commission européenne pour que les substances chimiques les plus préoccupantes soient interdites et que des solutions technologiques saines et innovantes, sources de croissance verte soient promues.
Cette politique ambitieuse place la France à la pointe des pays développés en matière de santé-environnement, et contribue ainsi pleinement à la préservation dun cadre de vie dexception, source dattractivité des talents et des projets du territoire français dans la compétition mondiale.
La Conférence Environnementale des 27 et 28 novembre, présidée par le Président de la République, se saisira de ce thème et permettra de développer des champs dactions nouveaux et prometteurs, tels que la valorisation des effets positifs de la biodiversité sur la santé, qui viendront compléter le plan.Le plan national santé-environnement a été construit en partenariat avec les partenaires sociaux, les collectivités, les associations de consommateurs et de protection de lenvironnement, les entreprises et des experts, au terme dun riche processus de démocratie participative.