Texte intégral
Le 4 janvier dans la matinée, un officier et un sous-officier français qui participaient à une mission de médiation du comité de suivi conduite par des officiers tchadiens et burkinabé sont tombés dans un guet-apens et ont été délibérément assassinés par des mutins.
- Dans la nuit du 4 au 5 janvier, vers une heure, alors que des agressions armées à l'encontre de nos forces se multipliaient, celles-ci ont conduit une opération visant les positions tenues par les responsables et les auteurs de ces actes.
- La France, qui accompagne et soutient l'action des quatre chefs d'Etat africains médiateurs dans la recherche d'une solution pacifique et rappelle son attachement au processus démocratique initié en RCA il y a trois ans, ne peut accepter l'assassinat de deux de ses soldats engagés dans une opération de paix et la mise en danger répétée de ses forces.
- Dans la nuit du 4 au 5 janvier, vers une heure, alors que des agressions armées à l'encontre de nos forces se multipliaient, celles-ci ont conduit une opération visant les positions tenues par les responsables et les auteurs de ces actes.
- La France, qui accompagne et soutient l'action des quatre chefs d'Etat africains médiateurs dans la recherche d'une solution pacifique et rappelle son attachement au processus démocratique initié en RCA il y a trois ans, ne peut accepter l'assassinat de deux de ses soldats engagés dans une opération de paix et la mise en danger répétée de ses forces.