Texte intégral
Le ministre du travail, de lemploi, de la formation professionnelle et du dialogue social a présenté une communication relative à la situation de lemploi.
Les indicateurs économiques sont, depuis plusieurs mois, favorablement orientés. LInsee a confirmé le mois dernier que le mouvement de reprise économique enregistré au premier trimestre, dynamisé par la montée en charge du pacte de responsabilité et de solidarité, se poursuivra tout au long de cette année, rejoignant ainsi les prévisions dautres institutions économiques nationales et internationales.
Lenjeu des prochains mois est donc daccompagner ce retour de la croissance en levant les freins au recrutement qui subsistent. Cest lobjectif des réformes menées par le Gouvernement, qui, en améliorant la sécurisation des parcours professionnels, en renforçant le dialogue social en entreprise et plus généralement en réformant le droit du travail, contribuent au développement de lemploi.
Afin daccélérer et damplifier les effets de la reprise économique sur lemploi, le Premier ministre a annoncé la mise en place dune aide de 4 000 euros sur deux ans pour tout premier salarié recruté par les très petites entreprises et petites et moyennes entreprises. Cette aide est dores et déjà effective et porte sur les recrutements réalisés à compter du 9 juin.
Cette mesure sinscrit dans la continuité de laction du Gouvernement pour faire reculer le chômage. Elle sajoute aux 100 000 contrats aidés supplémentaires annoncés le mois dernier et à leffort financier exceptionnel de la part des partenaires sociaux et de lEtat pour donner à 100 000 demandeurs demploi laccès à une formation de qualité.
Cette reprise de la croissance et laction du Gouvernement montrent leurs premiers effets positifs sur les créations nettes demploi. Ainsi, lemploi salarié sest stabilisé au 1er trimestre, les déclarations dembauche de plus dun mois (hors intérim) ont progressé de 1,3 % sur les trois derniers mois et lintérim, qui est un indicateur avancé de lévolution du marché du travail, se redresse et augmente de 2,3 % depuis le mois de janvier.Il faut toutefois un délai de plusieurs mois avant que la reprise de lactivité ne se traduise par des embauches suffisantes pour faire reculer le chômage.
Les indicateurs économiques sont, depuis plusieurs mois, favorablement orientés. LInsee a confirmé le mois dernier que le mouvement de reprise économique enregistré au premier trimestre, dynamisé par la montée en charge du pacte de responsabilité et de solidarité, se poursuivra tout au long de cette année, rejoignant ainsi les prévisions dautres institutions économiques nationales et internationales.
Lenjeu des prochains mois est donc daccompagner ce retour de la croissance en levant les freins au recrutement qui subsistent. Cest lobjectif des réformes menées par le Gouvernement, qui, en améliorant la sécurisation des parcours professionnels, en renforçant le dialogue social en entreprise et plus généralement en réformant le droit du travail, contribuent au développement de lemploi.
Afin daccélérer et damplifier les effets de la reprise économique sur lemploi, le Premier ministre a annoncé la mise en place dune aide de 4 000 euros sur deux ans pour tout premier salarié recruté par les très petites entreprises et petites et moyennes entreprises. Cette aide est dores et déjà effective et porte sur les recrutements réalisés à compter du 9 juin.
Cette mesure sinscrit dans la continuité de laction du Gouvernement pour faire reculer le chômage. Elle sajoute aux 100 000 contrats aidés supplémentaires annoncés le mois dernier et à leffort financier exceptionnel de la part des partenaires sociaux et de lEtat pour donner à 100 000 demandeurs demploi laccès à une formation de qualité.
Cette reprise de la croissance et laction du Gouvernement montrent leurs premiers effets positifs sur les créations nettes demploi. Ainsi, lemploi salarié sest stabilisé au 1er trimestre, les déclarations dembauche de plus dun mois (hors intérim) ont progressé de 1,3 % sur les trois derniers mois et lintérim, qui est un indicateur avancé de lévolution du marché du travail, se redresse et augmente de 2,3 % depuis le mois de janvier.Il faut toutefois un délai de plusieurs mois avant que la reprise de lactivité ne se traduise par des embauches suffisantes pour faire reculer le chômage.