Résumé
Le "mauvais combat" de Philippe de Villiers et Jimmy Goldsmith contre le "libre-échangisme mondial" : les arguments protectionnistes ("une illusion d'optique"), la peur du libre-échange, comme la peur des machines (suppressions d'emplois "visibles" contre gains de productivité, nécessité de "réinventer le travail")-la peur des délocalisations (avantages de l'internationalisation des productions)-les inégalités devant la concurrence (gages de performance et de compétitivité)-les bas salaires et le "dumping social" (inégalités de productivité à corriger par des ajustements monétaires sur les taux de change)-la préférence communautaire (un impôt sur les consommateurs, génératrice de chômage). "Le libre-échange n'est pas un renoncement, mais une volonté-la protection doit rester l'exception".- 2 PAGES