Résumé
Bilan de l'activité de l'UEO sous la présidence de la France (assurée depuis le 1er juillet 1990) : rôle de l'UEO dans l'affaire du Golfe et l'aide aux Kurdes-place de l'UEO dans l'architecture européenne de sécurité (affirmation de deux démarches parallèles, Alliance atlantique et UEO, qui ne doivent pas se porter préjudice. Rappel de la position de la France souhaitant faire de l'UEO un organe de l'union politique européenne)-relations avec les pays d'Europe de l'Est, rôle pour le désarmement conventionnel en Europe et pour la mise en place des institutions de la CSCE-coopération spatiale (souhait de création du centre de formation et d'interprétation des données satellitaires).<br>- Autres sujets abordés : le budget de l'Assemblée de l'UEO-la mise sur pied d'une force de réaction rapide au sein de l'OTAN (critique de cette démarche et conviction qu'elle ne s'oppose pas à l'idée d'une force d'action rapide dans le cadre de l'UEO)-la question de l'adhésion de la Grèce, de l'Irlande et du Danemark à l'UEO-les relations de l'UEO avec les pays européens extérieurs à la CEE mais membres de l'Alliance atlantique-l'éventualité d'une intervention hors d'Europe d'une force d'action rapide européenne (liée à l'UEO)-les raisons de la non-adhésion de la France à l'OTAN-le débat sur le champ d'intervention de l'armée allemande-la signature du traité de non-prolifération et le refus de la France d'adhérer au traité de Moscou interdisant certains essais nucléaires.- 18 VUES