Résumé
Le recul de la syndicalisation, la régression de l'influence de la CGT, les responsabilités. Les attaques contre l'organisation et le syndicalisme "de classe" de la CGT : les atteintes aux libertés syndicales, le réformisme généralisé, "l'adaptation sociale aux impératifs du capitalisme en crise" (participation, individualisation)-réserves sur l'objectif d'un syndicalisme de proposition. Priorité à la relance du militantisme "au quotidien" plutôt qu'à de nouvelles initiatives-affirmation de l'identité de la CGT, de la culture et du langage militant, et urgence d'une "reconquête".- 22 VUES