Texte intégral
Voilà qu’à la demande, « au départ », d’une pseudo-intelligentsia de tréteaux et de culture, les Françaises et les Français se voient sollicités de signer des pétitions pour le non-respect de la loi sur le problème de l’immigration clandestine.
C’est un fait que l’immigration clandestine bafoue les lois de la République.
C’est un fait qu’elle menace la cohésion du Pays et qu’elle permet, de toute évidence puisqu’elle l’a déjà démontrée , de faire prospérer le racisme et la xénophobie.
Un projet de loi gouvernemental va être soumis dans les jours qui viennent au Parlement qui est le seul pouvoir de décision de notre démocratie.
De quoi s’agit-il ?
Le projet de loi réforme les certificats d’hébergement créés par le pouvoir socialiste en 1982 : celui qui hébergeait un étranger était tenu d’en faire la déclaration.
Or, on s’est aperçu que les certificats d’hébergement sont devenus une part importante des filières de l’immigration irrégulière en France.
Un grand nombre d’étrangers entrent sur notre territoire par ce moyen, y restent passé le délai autorisé et quittent le domicile où ils ont été hébergés sans laisser d’adresse.
Pour mettre fin à cette dérive, le projet de loi demande à celui qui hébergeait l’étranger de notifier son départ à la mairie.
Le projet de loi étend les contrôles à la frontière pour mieux démonter les filières du travail clandestin.
Il facilite enfin la reconduite à la frontière en allongeant de vingt-quatre heures la durée de la rétention.
Ce projet ne constitue en aucune façon une atteinte aux libertés individuelles et aux droits de l’Homme.
Il vise au contraire à faire respecter les lois de la République, à mieux combattre l’immigration clandestine et, par là même, à mieux permettre aux Français de vivre dans leur Pays.
Dans toute la mesure où ce projet apportera de plus une meilleure sécurité et où il garantit l’identité nationale de la France, il mérite d’être soutenu par toutes et par tous.