Résumé
Critique des déclarations de M. François Ceyrac dans l'interview au "Quotidien de Paris" du 17 novembre, sur la situation en 1936. Application du programme gouvernemental mais volonté de rechercher le compromis avec les chefs d'entreprise ( ajournement de la réforme du droit de veto sur les licenciements ). Nécessité de la participation de l'Etat, des salariés mais aussi des patrons à "l'effort national" de relance de l'économie. Constat de la "grève de l'embauche" et de l'investissement chez les chefs d'entreprise, malgré les signes de reprise ( consommation courante et investissement étranger ). Nécessité de convaincre et d'aider les patrons pour qu'ils changent de comportement, ( campagne du Premier ministre, contrats de solidarité ), gagner l'opinion publique.- 2 VUES