Résumé
Critique de l'orthodoxie économique, du monétarisme et de la primauté de la politique budgétaire (manque de lisibilité et d'efficacité de l'Etat conduisant à une politique de "choix passifs", prééminence du court terme sur l'action à long terme)-nécessité de mettre en oeuvre des priorités économiques tout en gérant sainement les finances publiques. Commentaire sur les taux d'intérêt (position favorable à une baisse du coût de l'intermédiation financière), le rôle du FMI et de la Banque mondiale (moduler la conditionnalité des prêts aux pays endettés au cas par cas), la rigueur (utiliser les moyens dégagés par la baisse des prix du pétrole à l'investissement et à l'apurement de la dette du Tiers monde), le chômage (propositions pour l'emploi), le rôle de l'Etat ("régulateur et introducteur d'avenir") et les perspectives de l'autogestion.- 14 VUES