Texte intégral
Madame Lucette Michaux-Chevry, ministre délégué à l'Action humanitaire et aux Droits de l'homme, a décidé de mettre en place la Commission consultative de l'action humanitaire (CCAH) dont la création a été suggérée par le rapport sur "les relations entre l'humanitaire d'Etat et les ONG". Pour présider cette Commission, elle a soumis au Premier ministre le nom de Monsieur Jean-François Deniau, ancien ministre, connu pour ses engagements en faveur des causes humanitaires.
- Cette instance doit établir une concertation permanente entre les ministères concernés par l'action humanitaire et les ONG opérationnelles, de façon à assurer la meilleure efficacité et coopération dans les opérations d'urgence humanitaire.
- Elle sera composée paritairement des représentants des administrations concernées, des représentants des ONG, ainsi que de personnalités particulièrement qualifiées dans le domaine de l'action humanitaire.
- La Commission qui se réunira régulièrement, permettra :
- d'évoquer les problèmes ayant trait aux situations humanitaires,
- d'échanger des informations sur les situations d'urgence,
- de débattre des priorités en matière d'humanitaire de crise,
- d'améliorer les relations entre l'Etat et les ONG,
- d'instaurer une procédure d'évaluation de l'action humanitaire,
- de promouvoir le droit international humanitaire.
- Cette instance doit établir une concertation permanente entre les ministères concernés par l'action humanitaire et les ONG opérationnelles, de façon à assurer la meilleure efficacité et coopération dans les opérations d'urgence humanitaire.
- Elle sera composée paritairement des représentants des administrations concernées, des représentants des ONG, ainsi que de personnalités particulièrement qualifiées dans le domaine de l'action humanitaire.
- La Commission qui se réunira régulièrement, permettra :
- d'évoquer les problèmes ayant trait aux situations humanitaires,
- d'échanger des informations sur les situations d'urgence,
- de débattre des priorités en matière d'humanitaire de crise,
- d'améliorer les relations entre l'Etat et les ONG,
- d'instaurer une procédure d'évaluation de l'action humanitaire,
- de promouvoir le droit international humanitaire.