Texte intégral
Roselyne Bachelot-Narquin, Ministre de l'Ecologie et du Développement Durable, apporte les précisions suivantes aux questions qui lui sont posées sur la lutte, en mer et à terre, contre la pollution causée par le naufrage du pétrolier Prestige.
Pour le traitement de l'épave, située par 3500 mètres de profondeur, la mobilisation immédiate de l'IFREMER, dont le président avait accompagné la Ministre lors de son déplacement à la Corogne le 26 novembre 2002, a permis de colmater la plupart des fuites. La recherche d'une solution définitive est en cours.
La lutte en mer, coordonnée par le préfet maritime de l'Atlantique, a permis de récupérer près de 40 000 tonnes de polluant en émulsion, ce qui correspond approximativement à la quantité totale de pollution qu'avait causée l'ERIKA. Cette performance technique des navires dépollueurs européens et de la flotte de chalutiers mobilisée à cet effet doit être saluée.
Sur les plages, grâce à une mécanisation presque systématique, le travail de nettoyage a considérablement gagné en efficacité, sans pour autant négliger le soin environnemental nécessaire.
D'autre part, à l'invitation de Roselyne Bachelot-Narquin, Ministre de l'Ecologie et du Développement Durable, plusieurs associations de protection de l'environnement qui se sont engagées dans la lutte contre la marée noire provenant du Prestige, se sont réunies avec plusieurs représentants du ministère jeudi 6 février dernier.
Cette réunion, qui s'est caractérisée par un échange constructif, a eu pour objet d'optimiser l'organisation conjointe mise en place pour faire face à l'impact écologique de la pollution sur la côte Atlantique.
En particulier, il a été décidé la constitution d'un groupe de travail, réunissant des représentants du ministère de l'écologie et du développement durable, d'associations de protection de l'environnement et d'organismes scientifiques, chargé d'approfondir la réflexion sur les mesures de suivi de l'impact de la pollution sur les écosystèmes marins et côtiers, en vue d'une mise en uvre rapide.
(Source http://www.environnement.gouv.fr, le 14 février 2003)
Pour le traitement de l'épave, située par 3500 mètres de profondeur, la mobilisation immédiate de l'IFREMER, dont le président avait accompagné la Ministre lors de son déplacement à la Corogne le 26 novembre 2002, a permis de colmater la plupart des fuites. La recherche d'une solution définitive est en cours.
La lutte en mer, coordonnée par le préfet maritime de l'Atlantique, a permis de récupérer près de 40 000 tonnes de polluant en émulsion, ce qui correspond approximativement à la quantité totale de pollution qu'avait causée l'ERIKA. Cette performance technique des navires dépollueurs européens et de la flotte de chalutiers mobilisée à cet effet doit être saluée.
Sur les plages, grâce à une mécanisation presque systématique, le travail de nettoyage a considérablement gagné en efficacité, sans pour autant négliger le soin environnemental nécessaire.
D'autre part, à l'invitation de Roselyne Bachelot-Narquin, Ministre de l'Ecologie et du Développement Durable, plusieurs associations de protection de l'environnement qui se sont engagées dans la lutte contre la marée noire provenant du Prestige, se sont réunies avec plusieurs représentants du ministère jeudi 6 février dernier.
Cette réunion, qui s'est caractérisée par un échange constructif, a eu pour objet d'optimiser l'organisation conjointe mise en place pour faire face à l'impact écologique de la pollution sur la côte Atlantique.
En particulier, il a été décidé la constitution d'un groupe de travail, réunissant des représentants du ministère de l'écologie et du développement durable, d'associations de protection de l'environnement et d'organismes scientifiques, chargé d'approfondir la réflexion sur les mesures de suivi de l'impact de la pollution sur les écosystèmes marins et côtiers, en vue d'une mise en uvre rapide.
(Source http://www.environnement.gouv.fr, le 14 février 2003)