Texte intégral
Merci beaucoup, Excellence, pour la chaleur de votre accueil et pour la qualité des entretiens que nous avons eus ce matin avec vous et avec votre collègue, M. Kharrazi.
Aujourd'hui est un jour important pour nos trois pays, la Grande-Bretagne, l'Allemagne et la France, un jour important pour l'Europe parce que nous traitons une question essentielle : celle de la prolifération qui, comme chacun le sait, constitue un défi de taille pour la communauté internationale. Nous avons réalisé ce matin d'importants progrès et nous avons trouvé la base d'un accord sur les trois questions en suspens.
La première de ces questions est la signature immédiate et la mise en oeuvre rapide du protocole additionnel. La deuxième est la coopération sans réserve avec l'Agence internationale de l'Energie atomique (AIEA). La troisième est la suspension de toutes les activités d'enrichissement et de retraitement de l'uranium. Il s'agit là, nous l'espérons, d'un point de départ prometteur et chacun a son rôle à jouer : l'Iran en premier lieu, de même que l'AIEA et la communauté internationale. Nous sommes sur la bonne voie et nous devons tous préserver la dynamique qui a été enclenchée. Nos trois pays ont pris l'engagement de faire avancer les choses avec l'ensemble de leurs partenaires européens.
Q - (sur le dialogue entre l'Union européenne et l'Iran)
R - Naturellement, cela relève de la confiance que nous entendons développer entre l'Europe et l'Iran. Je crois que le dialogue que nous entretenons depuis quelques mois va être renforcé au cours des prochaines semaines. Nous discuterons de cette question avec l'ensemble de nos partenaires européens, mais cela s'inscrit certainement dans la relation qui doit être établie entre l'Iran, l'Europe et la communauté internationale.
Q - Sur l'action des ministres au nom de leurs trois pays ou au nom de l'Union Européenne dans son ensemble ?
R - Naturellement, nous avons été en étroit contact avec l'ensemble de nos partenaires et amis, avec la présidence européenne, avec nos amis américains, nous en avons beaucoup parlé avec Colin Powell et, bien sûr, avec notre ami Igor Ivanov.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 octobre 2003)
Aujourd'hui est un jour important pour nos trois pays, la Grande-Bretagne, l'Allemagne et la France, un jour important pour l'Europe parce que nous traitons une question essentielle : celle de la prolifération qui, comme chacun le sait, constitue un défi de taille pour la communauté internationale. Nous avons réalisé ce matin d'importants progrès et nous avons trouvé la base d'un accord sur les trois questions en suspens.
La première de ces questions est la signature immédiate et la mise en oeuvre rapide du protocole additionnel. La deuxième est la coopération sans réserve avec l'Agence internationale de l'Energie atomique (AIEA). La troisième est la suspension de toutes les activités d'enrichissement et de retraitement de l'uranium. Il s'agit là, nous l'espérons, d'un point de départ prometteur et chacun a son rôle à jouer : l'Iran en premier lieu, de même que l'AIEA et la communauté internationale. Nous sommes sur la bonne voie et nous devons tous préserver la dynamique qui a été enclenchée. Nos trois pays ont pris l'engagement de faire avancer les choses avec l'ensemble de leurs partenaires européens.
Q - (sur le dialogue entre l'Union européenne et l'Iran)
R - Naturellement, cela relève de la confiance que nous entendons développer entre l'Europe et l'Iran. Je crois que le dialogue que nous entretenons depuis quelques mois va être renforcé au cours des prochaines semaines. Nous discuterons de cette question avec l'ensemble de nos partenaires européens, mais cela s'inscrit certainement dans la relation qui doit être établie entre l'Iran, l'Europe et la communauté internationale.
Q - Sur l'action des ministres au nom de leurs trois pays ou au nom de l'Union Européenne dans son ensemble ?
R - Naturellement, nous avons été en étroit contact avec l'ensemble de nos partenaires et amis, avec la présidence européenne, avec nos amis américains, nous en avons beaucoup parlé avec Colin Powell et, bien sûr, avec notre ami Igor Ivanov.
(source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 23 octobre 2003)