Texte intégral
Bienvenue, chers amis, pour cette cérémonie pour laquelle je voudrais devant vous tous saluer New York, saluer Londres, saluer Madrid, saluer Moscou et dire que l'Etat de la République française soutient Paris.
Paris, c'est la capitale de la France, c'est pour cela que la candidature de Paris, c'est la candidature de la France ; c'est pour cela que l'Etat s'engage et va s'engager aujourd'hui dans cette garantie de bonne fin des Jeux olympiques de 2012 à Paris. C'est pour cela que nous sommes aujourd'hui rassemblés avec les membres du Gouvernement qui vont engager les différents ministères pour l'organisation en 2012 des Jeux olympiques et des Jeux paralympiques dans notre capitale. L'Etat est engagé avec responsabilité, l'Etat est engagé avec esprit de partenariat, car si la candidature de Paris est la candidature de la France, elle est aussi la candidature des collectivités territoriales qui la portent et qui, elles aussi, s'engagent avec détermination dans ce projet fédérateur qui est pour notre pays, pour la région Ile-de-France, et pour notre capitale un rendez-vous très important.
Je voudrais saluer les sportifs qui sont présents ici, les sportifs - je dirais - dans toute leur dimension, de David Douillet à Emilie Le Pennec, et tous les uns et les autres en leur disant combien on apprécie leur engagement pour cette grande fête de l'olympisme, avec non seulement les grands rendez-vous sportifs, mais aussi avec cette capacité de porter cher Guy Drut, l'esprit olympique, cet esprit universel auquel nous sommes très attachés. C'est pour cela que j'ai salué les autres villes concurrentes. Nous sommes engagés dans une sorte de championnat du monde de l'attractivité des territoires. Dans ce championnat du monde de l'attractivité du territoire, nous voulons naturellement gagner. Mais nous sommes pratiquants de l'esprit olympique ; nous voulons le faire avec fair-play, avec esprit d'ouverture vis-à-vis de l'ensemble de ceux qui, comme nous, portent l'espoir d'organiser dans leur pays les Jeux olympiques et les paralympiques. Que le Comité olympique national soit remercié pour sa mobilisation, pour sa capacité, sa compétence. Tous les présidents qui sont ici ont fait preuve d'une capacité d'organisation d'événements internationaux remarquables, puisque nous avons eu en France, dans la période récente, la capacité de montrer ces compétences en matière d'organisation.
Je voudrais parler enfin des engagements de l'Etat, financièrement importants, notamment en ce qui concerne cette garantie de bonne fin.
L'Etat s'engage non seulement par ces moyens, mais je dirais, mobilise l'ensemble du pays avec son coeur pour que ces Jeux olympiques soient un grand rendez-vous de fraternité, pour que les valeurs qui sont portées par notre République et qui rencontrent celles de l'olympisme, soient l'occasion de peindre en bleu- blanc - rouge ces grandes valeurs que sont la fraternité notamment, entre les jeunes du monde entier.
Et puis ce message plus particulier pour les participants des Jeux paralympiques : c'est pour nous un événement également très important. Nous voulons que ces Jeux puissent être organisés à parité de mobilisation, et c'est pour cela qu'avec J.-F. Lamour, nous sommes engagés. Nous chercherons à cette occasion à montrer la France sous son visage le plus généreux, mais aussi avec la modernité qui est celle de notre pays. Je pense notamment à toutes les technologies de communication que nous mobiliserons à cette occasion pour pouvoir permettre au monde entier de vivre cet événement. Alors madame, messieurs les ministres, vous allez signer cet engagement. Derrière, il y a quelques centaines de millions d'euros pour chacun, puisque au total, il y aura 2 milliards et demi d'euros de garantie de l'Etat, donc votre signature aujourd'hui pèse particulièrement lourd. Mais c'est aussi un engagement partenarial que nous voulons développer dans l'intérêt de la candidature de Paris et de la France, pour ces Olympiades de 2012.
Merci à tous.
(Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 4 novembre 2004)
Paris, c'est la capitale de la France, c'est pour cela que la candidature de Paris, c'est la candidature de la France ; c'est pour cela que l'Etat s'engage et va s'engager aujourd'hui dans cette garantie de bonne fin des Jeux olympiques de 2012 à Paris. C'est pour cela que nous sommes aujourd'hui rassemblés avec les membres du Gouvernement qui vont engager les différents ministères pour l'organisation en 2012 des Jeux olympiques et des Jeux paralympiques dans notre capitale. L'Etat est engagé avec responsabilité, l'Etat est engagé avec esprit de partenariat, car si la candidature de Paris est la candidature de la France, elle est aussi la candidature des collectivités territoriales qui la portent et qui, elles aussi, s'engagent avec détermination dans ce projet fédérateur qui est pour notre pays, pour la région Ile-de-France, et pour notre capitale un rendez-vous très important.
Je voudrais saluer les sportifs qui sont présents ici, les sportifs - je dirais - dans toute leur dimension, de David Douillet à Emilie Le Pennec, et tous les uns et les autres en leur disant combien on apprécie leur engagement pour cette grande fête de l'olympisme, avec non seulement les grands rendez-vous sportifs, mais aussi avec cette capacité de porter cher Guy Drut, l'esprit olympique, cet esprit universel auquel nous sommes très attachés. C'est pour cela que j'ai salué les autres villes concurrentes. Nous sommes engagés dans une sorte de championnat du monde de l'attractivité des territoires. Dans ce championnat du monde de l'attractivité du territoire, nous voulons naturellement gagner. Mais nous sommes pratiquants de l'esprit olympique ; nous voulons le faire avec fair-play, avec esprit d'ouverture vis-à-vis de l'ensemble de ceux qui, comme nous, portent l'espoir d'organiser dans leur pays les Jeux olympiques et les paralympiques. Que le Comité olympique national soit remercié pour sa mobilisation, pour sa capacité, sa compétence. Tous les présidents qui sont ici ont fait preuve d'une capacité d'organisation d'événements internationaux remarquables, puisque nous avons eu en France, dans la période récente, la capacité de montrer ces compétences en matière d'organisation.
Je voudrais parler enfin des engagements de l'Etat, financièrement importants, notamment en ce qui concerne cette garantie de bonne fin.
L'Etat s'engage non seulement par ces moyens, mais je dirais, mobilise l'ensemble du pays avec son coeur pour que ces Jeux olympiques soient un grand rendez-vous de fraternité, pour que les valeurs qui sont portées par notre République et qui rencontrent celles de l'olympisme, soient l'occasion de peindre en bleu- blanc - rouge ces grandes valeurs que sont la fraternité notamment, entre les jeunes du monde entier.
Et puis ce message plus particulier pour les participants des Jeux paralympiques : c'est pour nous un événement également très important. Nous voulons que ces Jeux puissent être organisés à parité de mobilisation, et c'est pour cela qu'avec J.-F. Lamour, nous sommes engagés. Nous chercherons à cette occasion à montrer la France sous son visage le plus généreux, mais aussi avec la modernité qui est celle de notre pays. Je pense notamment à toutes les technologies de communication que nous mobiliserons à cette occasion pour pouvoir permettre au monde entier de vivre cet événement. Alors madame, messieurs les ministres, vous allez signer cet engagement. Derrière, il y a quelques centaines de millions d'euros pour chacun, puisque au total, il y aura 2 milliards et demi d'euros de garantie de l'Etat, donc votre signature aujourd'hui pèse particulièrement lourd. Mais c'est aussi un engagement partenarial que nous voulons développer dans l'intérêt de la candidature de Paris et de la France, pour ces Olympiades de 2012.
Merci à tous.
(Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 4 novembre 2004)