Texte intégral
COMMUNIQUE OFFICIEL:RELATIONS AVEC L'ALGERIE.
- LE MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES A RENDU COMPTE DE L'ACCUEIL POSITIF QUI AVAIT ETE FAIT AU RECENT ENTRETIEN TELEVISE DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE. IL A, EN-PARTICULIER, SOULIGNE L'INTERET SUSCITE PAR LES IDEES FRANCAISES SUR LE DESARMEMENT. EN CE QUI CONCERNE LES RELATIONS FRANCO - ALGERIENNES, IL A NOTE QU'IL ETAIT TROP TOT POUR QUE LES REACTIONS OFFICIELLES AIENT PU SE MANIFESTER, MAIS QUE LES PREMIERS ECHOS PARAISSENT MONTRER QUE L'INITIATIVE FRANCAISE FAISAIT L'OBJET A ALGER D'UN EXAMEN ATTENTIF. LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A INDIQUE QU'IL TIENDRAIT LE 16 FEVRIER UN CONSEIL RESTREINT EN VUE DE POURSUIVRE LA MISE AU-POINT DE LA CONTRIBUTION FRANCAISE SUR LE DESARMEMENT. AU SUJET DE L'ALGERIE, IL A DEMANDE AU MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES D'ELABORER LE CONTENU DES PROPOSITIONS DONT IL A FIXE LES GRANDES LIGNES, AFIN D'ETRE PRET A PRENDRE, LE MOMENT VENU, LES CONTACTS NECESSAIRES.
- A L'ISSUE DU CONSEIL DES MINISTRES, LE PRES IDENT DE LA REPUBLIQUE A DECLARE : "JE FELICITE LE PREMIER MINISTRE DE LA RAPIDITE ET DE L'EFFICACITE DES MESURES QU'IL A PRISES POUR ASSURER LA DEFENSE DU FRANC. LE FRANC N'EST PAS MALADE DE L'ECONOMIE. JE DEMANDE QU'ON NE LE RENDE PAS MALADE DE LA POLITIQUE".
- LE MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES A RENDU COMPTE DE L'ACCUEIL POSITIF QUI AVAIT ETE FAIT AU RECENT ENTRETIEN TELEVISE DU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE. IL A, EN-PARTICULIER, SOULIGNE L'INTERET SUSCITE PAR LES IDEES FRANCAISES SUR LE DESARMEMENT. EN CE QUI CONCERNE LES RELATIONS FRANCO - ALGERIENNES, IL A NOTE QU'IL ETAIT TROP TOT POUR QUE LES REACTIONS OFFICIELLES AIENT PU SE MANIFESTER, MAIS QUE LES PREMIERS ECHOS PARAISSENT MONTRER QUE L'INITIATIVE FRANCAISE FAISAIT L'OBJET A ALGER D'UN EXAMEN ATTENTIF. LE PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE A INDIQUE QU'IL TIENDRAIT LE 16 FEVRIER UN CONSEIL RESTREINT EN VUE DE POURSUIVRE LA MISE AU-POINT DE LA CONTRIBUTION FRANCAISE SUR LE DESARMEMENT. AU SUJET DE L'ALGERIE, IL A DEMANDE AU MINISTRE DES AFFAIRES ETRANGERES D'ELABORER LE CONTENU DES PROPOSITIONS DONT IL A FIXE LES GRANDES LIGNES, AFIN D'ETRE PRET A PRENDRE, LE MOMENT VENU, LES CONTACTS NECESSAIRES.
- A L'ISSUE DU CONSEIL DES MINISTRES, LE PRES IDENT DE LA REPUBLIQUE A DECLARE : "JE FELICITE LE PREMIER MINISTRE DE LA RAPIDITE ET DE L'EFFICACITE DES MESURES QU'IL A PRISES POUR ASSURER LA DEFENSE DU FRANC. LE FRANC N'EST PAS MALADE DE L'ECONOMIE. JE DEMANDE QU'ON NE LE RENDE PAS MALADE DE LA POLITIQUE".