Texte intégral
Le secrétaire d'Etat à la recherche a présenté une communication sur le programme fédérateur relatif aux biotechnologies.
- Gisement d'innovations pour la médecine, l'agriculture et l'environnement, les biotechnologies connaissent un essor considérable à travers le monde.
- Ce secteur est l'un des plus créateurs d'emplois - 6 % de croissance annuelle - avec un marché mondial qui devrait atteindre les 500 milliards de francs en 2000.
- La France dispose d'un atout de taille avec son potentiel de recherche en sciences du vivant, le 4ème au monde. C'est pour en tirer le meilleur parti et permettre le développement de nouveaux projets biotechnologiques que le Gouvernement a décidé, lors du comité interministériel de la recherche scientifique et technique du 3 octobre 1996, de mettre en place un programme fédérateur sur les biotechnologies. Le bilan dressé aujourd'hui est encourageant pour l'avenir : l'appel d'offres a mobilisé plus de 300 laboratoires publics, 167 PME et 46 grands groupes industriels.
- D'une durée de 5 ans, ce programme finance des projets associant des laboratoires de recherche publique et des entreprises et apporte une aide à la création de nouvelles sociétés. L'objectif est de mobiliser 1,5 milliards de francs de crédits publics et d'investissements privés. Ces projets pourront bénéficier d'un apport supplémentaire en fonds propres grâce à la création récente des Fonds Communs de Placement pour l'innovation (FCPI), qui draineront l'épargne privée vers les meilleurs d'entre eux. Des mesures ont également été prises pour favoriser la mobilisation par les entreprises de jeunes chercheurs et ingénieurs.
- Les biotechnologies peuvent apporter des bénéfices considérables pour l'efficacité des thérapies, une sécurité accrue dans l'alimentation et la préservation de l'environnement. Comme toute technologie nouvelle, elles suscitent néanmoins des interrogations et exigent un développement maîtrisé. Le Gouvernement veillera à un strict encadrement des pratiques, dans le respect de l'homme et de son environnement, s'appuyant sur la rigueur et l'indépendance des expertises et sur la transparence des décisions. Le débat public permettant aux Français de s'associer à la réflexion sera encouragé.
- Gisement d'innovations pour la médecine, l'agriculture et l'environnement, les biotechnologies connaissent un essor considérable à travers le monde.
- Ce secteur est l'un des plus créateurs d'emplois - 6 % de croissance annuelle - avec un marché mondial qui devrait atteindre les 500 milliards de francs en 2000.
- La France dispose d'un atout de taille avec son potentiel de recherche en sciences du vivant, le 4ème au monde. C'est pour en tirer le meilleur parti et permettre le développement de nouveaux projets biotechnologiques que le Gouvernement a décidé, lors du comité interministériel de la recherche scientifique et technique du 3 octobre 1996, de mettre en place un programme fédérateur sur les biotechnologies. Le bilan dressé aujourd'hui est encourageant pour l'avenir : l'appel d'offres a mobilisé plus de 300 laboratoires publics, 167 PME et 46 grands groupes industriels.
- D'une durée de 5 ans, ce programme finance des projets associant des laboratoires de recherche publique et des entreprises et apporte une aide à la création de nouvelles sociétés. L'objectif est de mobiliser 1,5 milliards de francs de crédits publics et d'investissements privés. Ces projets pourront bénéficier d'un apport supplémentaire en fonds propres grâce à la création récente des Fonds Communs de Placement pour l'innovation (FCPI), qui draineront l'épargne privée vers les meilleurs d'entre eux. Des mesures ont également été prises pour favoriser la mobilisation par les entreprises de jeunes chercheurs et ingénieurs.
- Les biotechnologies peuvent apporter des bénéfices considérables pour l'efficacité des thérapies, une sécurité accrue dans l'alimentation et la préservation de l'environnement. Comme toute technologie nouvelle, elles suscitent néanmoins des interrogations et exigent un développement maîtrisé. Le Gouvernement veillera à un strict encadrement des pratiques, dans le respect de l'homme et de son environnement, s'appuyant sur la rigueur et l'indépendance des expertises et sur la transparence des décisions. Le débat public permettant aux Français de s'associer à la réflexion sera encouragé.