Texte intégral
Les échanges extérieurs de la France.
- Le ministre du Commerce extérieur a présenté le bilan de nos échanges extérieurs au-cours des derniers mois et les perspectives qui se dégagent jusqu'à la fin de l'année 1980.
- En ce qui concerne le commerce extérieur, le déficit observé au cours des six premiers mois de 1980 a correspondu à l'aggravation très importante de notre facture énergétique. Celle-ci explique plus des 9/10è de notre déficit commercial. Les échanges de services, par contre, ont été marqués par un accroissement de leur excédent.
- Au cours du second semestre de 1980, un ralentissement du rythme excessif d'augmentation de nos importations, la poursuite du développement de nos exportations de marchandises - notamment un accroissement de nos livraisons de biens d'équipement professionnels - et de nos ventes de services devraient permettre de commencer à compenser le second choc pétrolier.
- Un effort durable et particulièrement soutenu de la part des entreprises, de pair avec la poursuite de la politique économique générale du gouvernement, s'impose à cet effet. En ce qui concerne les exportations, priorité doit être donnée, notamment, aux grands marchés industriels que sont l'Allemagne, les Etats-Unis et le Japon. Dans le domaine intérieur, le soutien de la production nationale doit être orienté de manière à permettre un moindre recours aux importations.
- Le ministre du Commerce extérieur a présenté le bilan de nos échanges extérieurs au-cours des derniers mois et les perspectives qui se dégagent jusqu'à la fin de l'année 1980.
- En ce qui concerne le commerce extérieur, le déficit observé au cours des six premiers mois de 1980 a correspondu à l'aggravation très importante de notre facture énergétique. Celle-ci explique plus des 9/10è de notre déficit commercial. Les échanges de services, par contre, ont été marqués par un accroissement de leur excédent.
- Au cours du second semestre de 1980, un ralentissement du rythme excessif d'augmentation de nos importations, la poursuite du développement de nos exportations de marchandises - notamment un accroissement de nos livraisons de biens d'équipement professionnels - et de nos ventes de services devraient permettre de commencer à compenser le second choc pétrolier.
- Un effort durable et particulièrement soutenu de la part des entreprises, de pair avec la poursuite de la politique économique générale du gouvernement, s'impose à cet effet. En ce qui concerne les exportations, priorité doit être donnée, notamment, aux grands marchés industriels que sont l'Allemagne, les Etats-Unis et le Japon. Dans le domaine intérieur, le soutien de la production nationale doit être orienté de manière à permettre un moindre recours aux importations.