Texte intégral
La situation en Polynésie française après les récents cyclones.
- Le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'intérieur et de la décentralisation chargé des départements et territoires d'outre-mer a présenté au Conseil des ministres une communication sur les cyclones qui ont affecté depuis le début de l'année la Polynésie française.
- L'avant-dernier cyclone, particulièrement dévastateur, a touché Tahiti de plein fouet et a causé, en outre, d'importants dégâts dans l'archipel des Tuamotu.
- On a déploré deux morts et cinquante blessés.
- Le vent, soufflant à plus de 160 km/heure pendant douze heures d'affilée, a détruit près de 8 000 maisons, entre 80 et 100 % des cultures vivrières, la plupart des cocoteraies et environ 80 bâteaux de pêche et de plaisance. Il a endommagé une grande partie des équipements publics : routes, ponts, installations d'électricité, de radio, de téléphone, et réseau d'adduction d'eau.
- Le plan ORSEC a été déclenché et d'importants secours ont été acheminés de puis la métropole par avions spéciaux.
- La plupart des habitants sont maintenant relogés, soit dans des bâtiments publics, soit dans les maisons les moins sinistrées.
- La vie a repris dans les îles mais l'économie est bouleversée et la réparation des dégâts sera longue et onéreuse.
- Comme il l'a annoncé lors du Conseil des ministres du 13 avril, le gouvernement met en oeuvre les moyens nécessaires pour venir en aide aux sinistrés et faciliter la reconstruction de l'économie du territoire. Les crédits nécessaires ont été débloqués pour financer les secours d'urgence qui ont été acheminés et les actions locales prioritaires.
- Le secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'intérieur et de la décentralisation chargé des départements et territoires d'outre-mer a présenté au Conseil des ministres une communication sur les cyclones qui ont affecté depuis le début de l'année la Polynésie française.
- L'avant-dernier cyclone, particulièrement dévastateur, a touché Tahiti de plein fouet et a causé, en outre, d'importants dégâts dans l'archipel des Tuamotu.
- On a déploré deux morts et cinquante blessés.
- Le vent, soufflant à plus de 160 km/heure pendant douze heures d'affilée, a détruit près de 8 000 maisons, entre 80 et 100 % des cultures vivrières, la plupart des cocoteraies et environ 80 bâteaux de pêche et de plaisance. Il a endommagé une grande partie des équipements publics : routes, ponts, installations d'électricité, de radio, de téléphone, et réseau d'adduction d'eau.
- Le plan ORSEC a été déclenché et d'importants secours ont été acheminés de puis la métropole par avions spéciaux.
- La plupart des habitants sont maintenant relogés, soit dans des bâtiments publics, soit dans les maisons les moins sinistrées.
- La vie a repris dans les îles mais l'économie est bouleversée et la réparation des dégâts sera longue et onéreuse.
- Comme il l'a annoncé lors du Conseil des ministres du 13 avril, le gouvernement met en oeuvre les moyens nécessaires pour venir en aide aux sinistrés et faciliter la reconstruction de l'économie du territoire. Les crédits nécessaires ont été débloqués pour financer les secours d'urgence qui ont été acheminés et les actions locales prioritaires.