Texte intégral
Il n'y aura pas de réglementation nouvelle de la publicité comparative, mais toutes les formes objectives d'information du consommateur seront encouragées
- Madame le secrétaire d'Etat chargé de la consommation a présenté une communication sur la publicité comparative.
- A la suite d'initiatives récentes de quelques distributeurs, un débat s'est ouvert sur l'opportunité d'introduire en France cette forme de publicité. Saisi de cette question, le Conseil national de la consommation, qui regroupe des représentants des professionnels et des consommateurs, a émis, le 3 avril dernier, un avis négatif que la gouvernement a décidé de suivre.
- Il est apparu en effet que les exigences qu'il faudrait formuler pour que la publicité comparative assure avec une loyauté et une exhaustivité suffisantes l'information du consommateur, interdiraient en fait de la mettre en oeuvre de façon satisfaisante.
- Le gouvernement souhaite en revanche que se développent toutes les formes d'information objective du consommateur sur les qualités et les prix des produits et des services :
- mise en oeuvre progressive de la nouvelle réglementation sur l'affichage des prix à l'unité de mesure ;
- développement et diffusion des tests comparatifs de l'Institut national de la consommation et des associations de consommateurs ;
- mise en place de centres locaux d'information sur les prix en liaison avec les collectivités territoriales.
- Le gouvernement souhaite enfin que le contenu informatif de la publicité se développe, notamment en ce qui concerne l'indication du prix et de la qualité réelle des produits. Il a été demandé au Conseil national de la consommation de formuler des propositions sur ce point.
- Madame le secrétaire d'Etat chargé de la consommation a présenté une communication sur la publicité comparative.
- A la suite d'initiatives récentes de quelques distributeurs, un débat s'est ouvert sur l'opportunité d'introduire en France cette forme de publicité. Saisi de cette question, le Conseil national de la consommation, qui regroupe des représentants des professionnels et des consommateurs, a émis, le 3 avril dernier, un avis négatif que la gouvernement a décidé de suivre.
- Il est apparu en effet que les exigences qu'il faudrait formuler pour que la publicité comparative assure avec une loyauté et une exhaustivité suffisantes l'information du consommateur, interdiraient en fait de la mettre en oeuvre de façon satisfaisante.
- Le gouvernement souhaite en revanche que se développent toutes les formes d'information objective du consommateur sur les qualités et les prix des produits et des services :
- mise en oeuvre progressive de la nouvelle réglementation sur l'affichage des prix à l'unité de mesure ;
- développement et diffusion des tests comparatifs de l'Institut national de la consommation et des associations de consommateurs ;
- mise en place de centres locaux d'information sur les prix en liaison avec les collectivités territoriales.
- Le gouvernement souhaite enfin que le contenu informatif de la publicité se développe, notamment en ce qui concerne l'indication du prix et de la qualité réelle des produits. Il a été demandé au Conseil national de la consommation de formuler des propositions sur ce point.