Texte intégral
Le ministre des transports et de la mer a présenté au Conseil des ministres une communication sur le développement du réseau des liaisons ferroviaires à grande vitesse.
- La France a été le premier pays d'Europe à s'engager dans la construction de lignes à grande vitesse avec les TGV sud-est et Atlantique.
- En 1993, le tunnel sous la manche et le TGV nord européen assureront les liaisons nécessaires avec l'Europe du Nord (Londres, Bruxelles, Amsterdam, Cologne et Francfort).
- En 1994, l'interconnexion en Ile-de-France des trois grandes lignes de TGV françaises permettra la constitution d'un véritable réseau.
- Un schéma directeur des liaisons à grande vitesse sera établi en 1989, en vue notamment d'assurer la cohérence nécessaire entre les perspectives de développement du réseau français et les projets correspondants des autres pays européens sans négliger les interconnexions intérieures qui se réveleraient indispensables.
- Afin de tirer le meilleur parti de sa position centrale en Europe, la France doit étendre ses lignes, notamment en direction, d'une part, de l'Allemagne du sud et de la Suisse, d'autre part, de l'Espagne et de l'Italie.
- Le TGV-est s'inscrit dans le projet franco-allemand "Paris-est de la France-sud-ouest de l'Allemagne". Conformément aux conclusions du sommet franco-allemand des 3 et 4 novembre 1988, le groupe de travail mis en place par les deux gouvernements a remis son rapport. Le ministre des transports et de la mer désignera une personnalité qualifiée pour rechercher les concours financiers nécessaires et étudier en liaison avec les collectivités locales intéressées les diverses solutions du tracé.
- La SNCF engagera les études du tracé et des conditions de réalisation des prolongements du TGV sud-est vers Marseille, l'Italie et l'Espagne.
- Ces développements permettront en outre de conforter la position de la technologie et de l'industrie françaises du matériel ferroviaire à grande vitesse, en coopération avec nos partenaires européens.
- La France a été le premier pays d'Europe à s'engager dans la construction de lignes à grande vitesse avec les TGV sud-est et Atlantique.
- En 1993, le tunnel sous la manche et le TGV nord européen assureront les liaisons nécessaires avec l'Europe du Nord (Londres, Bruxelles, Amsterdam, Cologne et Francfort).
- En 1994, l'interconnexion en Ile-de-France des trois grandes lignes de TGV françaises permettra la constitution d'un véritable réseau.
- Un schéma directeur des liaisons à grande vitesse sera établi en 1989, en vue notamment d'assurer la cohérence nécessaire entre les perspectives de développement du réseau français et les projets correspondants des autres pays européens sans négliger les interconnexions intérieures qui se réveleraient indispensables.
- Afin de tirer le meilleur parti de sa position centrale en Europe, la France doit étendre ses lignes, notamment en direction, d'une part, de l'Allemagne du sud et de la Suisse, d'autre part, de l'Espagne et de l'Italie.
- Le TGV-est s'inscrit dans le projet franco-allemand "Paris-est de la France-sud-ouest de l'Allemagne". Conformément aux conclusions du sommet franco-allemand des 3 et 4 novembre 1988, le groupe de travail mis en place par les deux gouvernements a remis son rapport. Le ministre des transports et de la mer désignera une personnalité qualifiée pour rechercher les concours financiers nécessaires et étudier en liaison avec les collectivités locales intéressées les diverses solutions du tracé.
- La SNCF engagera les études du tracé et des conditions de réalisation des prolongements du TGV sud-est vers Marseille, l'Italie et l'Espagne.
- Ces développements permettront en outre de conforter la position de la technologie et de l'industrie françaises du matériel ferroviaire à grande vitesse, en coopération avec nos partenaires européens.