Texte intégral
Le ministre du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle a présenté une communication sur le bilan des négociations collectives de branche sur les salaires.
- Le ministre du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle avait invité en juin dernier, dans le cadre d'un relevé de conclusions de la commission nationale de la négociation collective, 63 branches professionnelles à engager avant le 1er octobre des négociations sur le relèvement des bas et moyens salaires.
- Il s'agit d'assurer à tous les salariés une garantie de rémunération supérieure au salaire minimum interprofessionnel de croissance, d'offrir une perspective de déroulement de carrière et de permettre l'adaptation des classifications à l'évolution des fonctions.
- A la date du 31 décembre 1990, les premiers résultats obtenus sont satisfaisants, malgré un contexte économique moins favorable.
- Dix sept branches sont parvenues à un accord sur la remise à niveau des bas salaires, qui prévoit des salaires minimum supérieurs au salaire minimum interprofessionnel de croissance à la date de sa signature. Seize branches poursuivent encore leurs négociations ; plusieurs d'entre elles sont en passe d'aboutir.
- Les accords intervenus ont prévu des taux d'augmentation des salaires minimum souvent importants, pouvant atteindre ou dépasser 10 %.
- La refonte des classifications, qui doit être menée à bien avant le 31 décembre 1992, a d'ores et déjà donné lieu à des accords, notamment dans le bâtiment et la sidérurgie.
- Quarante quatre branches conduisent une négociation. L'analyse des accords conclus ou sur le point de l'être traduit une réelle prise en compte par les partenaires sociaux de l'objectif essentiel qui tend à assurer à tout salarié un véritable déroulement de carrière.
- Le ministre du travail, de l'emploi et de la formation professionnelle avait invité en juin dernier, dans le cadre d'un relevé de conclusions de la commission nationale de la négociation collective, 63 branches professionnelles à engager avant le 1er octobre des négociations sur le relèvement des bas et moyens salaires.
- Il s'agit d'assurer à tous les salariés une garantie de rémunération supérieure au salaire minimum interprofessionnel de croissance, d'offrir une perspective de déroulement de carrière et de permettre l'adaptation des classifications à l'évolution des fonctions.
- A la date du 31 décembre 1990, les premiers résultats obtenus sont satisfaisants, malgré un contexte économique moins favorable.
- Dix sept branches sont parvenues à un accord sur la remise à niveau des bas salaires, qui prévoit des salaires minimum supérieurs au salaire minimum interprofessionnel de croissance à la date de sa signature. Seize branches poursuivent encore leurs négociations ; plusieurs d'entre elles sont en passe d'aboutir.
- Les accords intervenus ont prévu des taux d'augmentation des salaires minimum souvent importants, pouvant atteindre ou dépasser 10 %.
- La refonte des classifications, qui doit être menée à bien avant le 31 décembre 1992, a d'ores et déjà donné lieu à des accords, notamment dans le bâtiment et la sidérurgie.
- Quarante quatre branches conduisent une négociation. L'analyse des accords conclus ou sur le point de l'être traduit une réelle prise en compte par les partenaires sociaux de l'objectif essentiel qui tend à assurer à tout salarié un véritable déroulement de carrière.