Texte intégral
Le ministre du budget, porte-parole du Gouvernement a présenté un projet de loi de finances rectificative pour 1993.
- Le projet de loi traduit la volonté du Gouvernement de maîtriser l'évolution des finances publiques.
- Compte tenu d'une croissance plus faible que celle prévue au printemps, les prévisions de recettes sont diminuées de 3,2 milliards de francs.
- Pour faire face à des dépenses supplémentaires inéluctables, des crédits nouveaux sont ouverts pour un montant de 19,1 milliards de francs en faveur des aides personnelles au logement, du revenu minimum d'insertion, de la protection sociale des agriculteurs, de la contribution de l'Etat à l'UNEDIC et des opérations extérieures de maintien de la paix.
- En contrepartie, des économies d'un montant de 22,3 milliards de francs sont réalisées, dont plus de la moitié sur la charge de la dette. Cette diminution traduit les premiers effets de la baisse des taux d'intérêt.
- Au total, le déficit budgétaire pour 1993 est inchangé à 317,6 milliards de francs. Cette stabilisation est la première étape d'une meilleure matrise des finances publiques, qui constitue elle-même une condition essentielle pour retrouver une croissance saine et créatrice d'emplois.
- Le projet de loi traduit la volonté du Gouvernement de maîtriser l'évolution des finances publiques.
- Compte tenu d'une croissance plus faible que celle prévue au printemps, les prévisions de recettes sont diminuées de 3,2 milliards de francs.
- Pour faire face à des dépenses supplémentaires inéluctables, des crédits nouveaux sont ouverts pour un montant de 19,1 milliards de francs en faveur des aides personnelles au logement, du revenu minimum d'insertion, de la protection sociale des agriculteurs, de la contribution de l'Etat à l'UNEDIC et des opérations extérieures de maintien de la paix.
- En contrepartie, des économies d'un montant de 22,3 milliards de francs sont réalisées, dont plus de la moitié sur la charge de la dette. Cette diminution traduit les premiers effets de la baisse des taux d'intérêt.
- Au total, le déficit budgétaire pour 1993 est inchangé à 317,6 milliards de francs. Cette stabilisation est la première étape d'une meilleure matrise des finances publiques, qui constitue elle-même une condition essentielle pour retrouver une croissance saine et créatrice d'emplois.