Texte intégral
Le ministre de l'économie, des finances et de l'industrie a présenté le projet de loi de règlement définitif du budget de l'année 2000.
L'exécution du budget 2000 illustre l'objectif de redressement des finances publiques mis en uvre depuis 1997. Le déficit budgétaire a été réduit de plus de 100 milliards de francs, passant de 295 milliards de francs en 1996 à 191,2 milliards de francs en 2000.
La dette publique s'inscrit, pour la deuxième année consécutive, sous la barre des 60% du produit intérieur brut.
Les dépenses nettes du budget général sont stabilisées en volume, à structure constante, et après retraitement des dépenses exceptionnelles.
Le besoin de financement des administrations publiques, au sens des critères du traité de Maastricht, est ramené à 1,3% du produit intérieur brut en 2000, après 1,6% en 1999 et 2,7% en 1998.
Ces résultats permettent à la France de remplir ses engagements européens, relatifs aux déficits publics et à la dette, tout en finançant les actions prioritaires. La poursuite de cette orientation maîtrisée reste la clef d'une politique des finances publiques favorable à la croissance.
L'exécution du budget 2000 illustre l'objectif de redressement des finances publiques mis en uvre depuis 1997. Le déficit budgétaire a été réduit de plus de 100 milliards de francs, passant de 295 milliards de francs en 1996 à 191,2 milliards de francs en 2000.
La dette publique s'inscrit, pour la deuxième année consécutive, sous la barre des 60% du produit intérieur brut.
Les dépenses nettes du budget général sont stabilisées en volume, à structure constante, et après retraitement des dépenses exceptionnelles.
Le besoin de financement des administrations publiques, au sens des critères du traité de Maastricht, est ramené à 1,3% du produit intérieur brut en 2000, après 1,6% en 1999 et 2,7% en 1998.
Ces résultats permettent à la France de remplir ses engagements européens, relatifs aux déficits publics et à la dette, tout en finançant les actions prioritaires. La poursuite de cette orientation maîtrisée reste la clef d'une politique des finances publiques favorable à la croissance.