Texte intégral
Le ministre de l'intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales a présenté une communication sur les résultats des élections législatives des 9 et 16 juin 2002.
Les élections législatives des 9 et 16 juin ont confirmé le choix effectué par les Français lors de l'élection du Président de la République : la majorité présidentielle peut maintenant s'appuyer sur une nette majorité parlementaire.
Les scrutins ont été marqués par des taux d'abstention de 36,6 % au premier tour et 39,7 % au second tour, les plus importants pour une élection de cette nature depuis le début de la Vème République.
A droite, l'Union pour la majorité présidentielle (UMP) recueille, à elle seule, au deuxième tour de scrutin, plus de 10 millions de voix - 1,4 million de plus qu'au premier tout - soit 47 % des suffrages exprimés. Elle obtient la majorité absolue des sièges avec 355 députés élus sous son investiture.
Ce second tour a donc confirmé les résultats du premier tour où les forces de la droite parlementaire obtenaient 43,6 % des suffrages exprimés. L'ensemble de la droite modérée rassemble 399 députés à l'Assemblée nationale et progresse de 138 sièges par rapport à l'Assemblée sortante.
L'opposition de gauche recueille au second tour 9,6 millions de voix, ce qui représente un recul de 700 000 voix par rapport au premier tour de scrutin et une perte de 1,5 million de voix par rapport au second tour de l'élection législative de 1997. Elle détient 178 sièges dans la nouvelle assemblée.
Le parti socialiste, qui perd 100 députés, reste la principale force de l'opposition, avec 140 élus.
L'extrême-droite, quant à elle, bien que pouvant se maintenir dans 37 circonscriptions au second tour, n'a pas réussi à atteindre la majorité des voix dans aucune d'entre elles et perd presque 1 million de voix par rapport à 1997.
Les élections législatives des 9 et 16 juin ont confirmé le choix effectué par les Français lors de l'élection du Président de la République : la majorité présidentielle peut maintenant s'appuyer sur une nette majorité parlementaire.
Les scrutins ont été marqués par des taux d'abstention de 36,6 % au premier tour et 39,7 % au second tour, les plus importants pour une élection de cette nature depuis le début de la Vème République.
A droite, l'Union pour la majorité présidentielle (UMP) recueille, à elle seule, au deuxième tour de scrutin, plus de 10 millions de voix - 1,4 million de plus qu'au premier tout - soit 47 % des suffrages exprimés. Elle obtient la majorité absolue des sièges avec 355 députés élus sous son investiture.
Ce second tour a donc confirmé les résultats du premier tour où les forces de la droite parlementaire obtenaient 43,6 % des suffrages exprimés. L'ensemble de la droite modérée rassemble 399 députés à l'Assemblée nationale et progresse de 138 sièges par rapport à l'Assemblée sortante.
L'opposition de gauche recueille au second tour 9,6 millions de voix, ce qui représente un recul de 700 000 voix par rapport au premier tour de scrutin et une perte de 1,5 million de voix par rapport au second tour de l'élection législative de 1997. Elle détient 178 sièges dans la nouvelle assemblée.
Le parti socialiste, qui perd 100 députés, reste la principale force de l'opposition, avec 140 élus.
L'extrême-droite, quant à elle, bien que pouvant se maintenir dans 37 circonscriptions au second tour, n'a pas réussi à atteindre la majorité des voix dans aucune d'entre elles et perd presque 1 million de voix par rapport à 1997.