Texte intégral
Le secrétaire d'État à l'agriculture, à l'alimentation, à la pêche et aux affaires rurales a présenté une communication relative à la rentrée dans les établissements d'enseignement agricole.
La rentrée 2004 s'est bien déroulée grâce à la mobilisation de toute la communauté éducative. Les effectifs restent stables par rapport à la rentrée 2003 (plus de 200 000 élèves, étudiants et apprentis accueillis dans 1551 établissements). Dans l'enseignement technique, 40 % des élèves sont accueillis dans le public, 60 % dans des établissements privés sous contrat ; l'internat, qui concerne 60 % des élèves, constitue un atout éducatif.
L'enseignement agricole a toute sa place dans le dispositif national de formation. Les apprentissages théoriques et la réalité du monde professionnel se complètent grâce à une pédagogie fondée sur l'alternance. Ainsi les taux d'insertion sont particulièrement élevés, en moyenne de l'ordre de 85 %.
Au printemps 2004, l'enseignement technique agricole s'est donné, dans le cadre du 4ème schéma prévisionnel national des formations, des perspectives pour les cinq prochaines années. L'accent est mis sur la valorisation des filières de formation à fort potentiel d'embauche, telles que les industries agro-alimentaires.
Les 26 établissements de l'enseignement supérieur agricole, publics et privés, ont entrepris une réorganisation en pôles régionaux de compétences afin de proposer une offre de formation lisible et compétitive à l'échelle nationale, européenne et internationale.
L'enseignement agricole doit relever le défi pédagogique de l'avenir, dans la concertation et en lien avec l'éducation nationale, afin de répondre aux mutations du monde rural. Trois axes sont privilégiés :
- mieux communiquer en faisant davantage connaître l'enseignement agricole auprès des jeunes et des familles et en informant sur la richesse de son offre de formation ;
- valoriser, avec les professionnels et les élus, les métiers auxquels il prépare, notamment dans les domaines de l'environnement et de l'alimentation ;
- accentuer la dimension européenne des formations en poursuivant l'adaptation de l'enseignement supérieur agricole au système LMD (licence - master - doctorat) et en renforçant la coopération entre établissements avec nos partenaires de l'Europe élargie.
[UD 6]
La rentrée 2004 s'est bien déroulée grâce à la mobilisation de toute la communauté éducative. Les effectifs restent stables par rapport à la rentrée 2003 (plus de 200 000 élèves, étudiants et apprentis accueillis dans 1551 établissements). Dans l'enseignement technique, 40 % des élèves sont accueillis dans le public, 60 % dans des établissements privés sous contrat ; l'internat, qui concerne 60 % des élèves, constitue un atout éducatif.
L'enseignement agricole a toute sa place dans le dispositif national de formation. Les apprentissages théoriques et la réalité du monde professionnel se complètent grâce à une pédagogie fondée sur l'alternance. Ainsi les taux d'insertion sont particulièrement élevés, en moyenne de l'ordre de 85 %.
Au printemps 2004, l'enseignement technique agricole s'est donné, dans le cadre du 4ème schéma prévisionnel national des formations, des perspectives pour les cinq prochaines années. L'accent est mis sur la valorisation des filières de formation à fort potentiel d'embauche, telles que les industries agro-alimentaires.
Les 26 établissements de l'enseignement supérieur agricole, publics et privés, ont entrepris une réorganisation en pôles régionaux de compétences afin de proposer une offre de formation lisible et compétitive à l'échelle nationale, européenne et internationale.
L'enseignement agricole doit relever le défi pédagogique de l'avenir, dans la concertation et en lien avec l'éducation nationale, afin de répondre aux mutations du monde rural. Trois axes sont privilégiés :
- mieux communiquer en faisant davantage connaître l'enseignement agricole auprès des jeunes et des familles et en informant sur la richesse de son offre de formation ;
- valoriser, avec les professionnels et les élus, les métiers auxquels il prépare, notamment dans les domaines de l'environnement et de l'alimentation ;
- accentuer la dimension européenne des formations en poursuivant l'adaptation de l'enseignement supérieur agricole au système LMD (licence - master - doctorat) et en renforçant la coopération entre établissements avec nos partenaires de l'Europe élargie.
[UD 6]