Texte intégral
Le ministre de l'outre-mer a présenté une communication relative à la catastrophe aérienne du 16 août 2005 survenue au Vénézuela qui a fait 160 victimes.
A la demande du Président de la République et du Premier ministre, il s'est immédiatement rendu sur les lieux afin d'apporter son soutien aux familles et proches des victimes et de coordonner les services de l'État. Il a rencontré au Vénézuela, le 18 août, le vice-président, le ministre de la justice et le ministre de l'intérieur afin d'accélérer la coopération judiciaire entre nos deux pays, de veiller au bon déroulement des différentes procédures et de préparer dans les meilleures conditions possibles la venue des familles.
300 proches des victimes ont été transportés à Maracaïbo pour assister aux cérémonies de recueillement les 19 et 20 août, dans un avion affrété par l'État ; 46 autres ont été acheminés de Paris à Fort-de-France.
Un dispositif de gestion de crise a été mis en place ; il comprend deux échelons : une cellule de crise en Martinique et une cellule interministérielle de crise localisée au ministère des affaires étrangères.
Des tentes réfrigérées, du matériel paramédical d'identification et des équipes consulaires et d'identification ont été acheminées au Vénézuela. L'identification des corps nécessitera cependant un certain délai en raison de la violence du choc.
Une information judiciaire pour homicide involontaire, ouverte par le procureur de la République de Fort-de-France dès le 16 août, a été confiée à deux juges d'instruction.
Une cérémonie oecuménique a été organisée à Fort-de-France le 24 août en présence du Président de la République et une messe à la cathédrale Notre-Dame de Paris a été célébrée en présence du Premier ministre et de madame Chirac. Les drapeaux sur les édifices publics ont été mis en berne sur l'ensemble du territoire national.
Un dispositif d'aide et d'accompagnement des familles des victimes est mis en place en Martinique. Le préfet Richard Samuel est chargé de coordonner au niveau national l'action interministérielle. Le ministère de l'outre-mer a créé une cellule d'appui aux familles résidant en métropole afin de les guider dans leurs démarches.
A la demande du Président de la République et du Premier ministre, il s'est immédiatement rendu sur les lieux afin d'apporter son soutien aux familles et proches des victimes et de coordonner les services de l'État. Il a rencontré au Vénézuela, le 18 août, le vice-président, le ministre de la justice et le ministre de l'intérieur afin d'accélérer la coopération judiciaire entre nos deux pays, de veiller au bon déroulement des différentes procédures et de préparer dans les meilleures conditions possibles la venue des familles.
300 proches des victimes ont été transportés à Maracaïbo pour assister aux cérémonies de recueillement les 19 et 20 août, dans un avion affrété par l'État ; 46 autres ont été acheminés de Paris à Fort-de-France.
Un dispositif de gestion de crise a été mis en place ; il comprend deux échelons : une cellule de crise en Martinique et une cellule interministérielle de crise localisée au ministère des affaires étrangères.
Des tentes réfrigérées, du matériel paramédical d'identification et des équipes consulaires et d'identification ont été acheminées au Vénézuela. L'identification des corps nécessitera cependant un certain délai en raison de la violence du choc.
Une information judiciaire pour homicide involontaire, ouverte par le procureur de la République de Fort-de-France dès le 16 août, a été confiée à deux juges d'instruction.
Une cérémonie oecuménique a été organisée à Fort-de-France le 24 août en présence du Président de la République et une messe à la cathédrale Notre-Dame de Paris a été célébrée en présence du Premier ministre et de madame Chirac. Les drapeaux sur les édifices publics ont été mis en berne sur l'ensemble du territoire national.
Un dispositif d'aide et d'accompagnement des familles des victimes est mis en place en Martinique. Le préfet Richard Samuel est chargé de coordonner au niveau national l'action interministérielle. Le ministère de l'outre-mer a créé une cellule d'appui aux familles résidant en métropole afin de les guider dans leurs démarches.