Texte intégral
Le Premier ministre, Dominique de VILLEPIN, a reçu le Professeur Pierre-Louis FAGNIEZ, député du Val-de-Marne, qui lui a remis un rapport intitulé "cellules souches et choix éthiques".
Il a félicité Pierre-Louis FAGNIEZ pour la grande qualité de son rapport qui procède à une analyse très précise des potentialités des différentes voies de recherche et de l'état du droit au plan international.
Le Premier ministre a rappelé l'importance des questions posées par l'évolution des sciences du vivant et tout particulièrement par la recherche sur les cellules souches. Les perspectives scientifiques liées à l'utilisation des cellules souches ont justifié l'ouverture de la recherche sur l'embryon dans des conditions strictes.
Le Premier ministre a indiqué qu'il était attaché à l'application de la loi relative à la bioéthique du 6 août 2004 et à la préparation, selon une approche humaniste et scientifique, de sa révision en 2009 ; après une évaluation rigoureuse. Il a rappelé que cette loi était porteuse, sur l'embryon humain, d'un équilibre qui était le fruit de travaux scientifiques, juridiques, éthiques et parlementaires très approfondis.
Sur des sujets qui, plus que d'autres, mettent en jeu une certaine idée de l'homme, une certaine vision de sa condition et de sa destinée, et s'agissant de choix qui impliquent les générations futures, le Premier ministre a souhaité que le débat public soit riche et vivant.
Il a ainsi demandé à Xavier BERTRAND, ministre de la santé et des solidarités et à François GOULARD, ministre délégué à l'enseignement supérieur et à la recherche, de lui soumettre avant la fin du mois d'octobre des propositions pour renforcer l'information et la formation de nos concitoyens sur les enjeux éthiques de l'évolution des sciences du vivant.
Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 28 juillet 2006
Il a félicité Pierre-Louis FAGNIEZ pour la grande qualité de son rapport qui procède à une analyse très précise des potentialités des différentes voies de recherche et de l'état du droit au plan international.
Le Premier ministre a rappelé l'importance des questions posées par l'évolution des sciences du vivant et tout particulièrement par la recherche sur les cellules souches. Les perspectives scientifiques liées à l'utilisation des cellules souches ont justifié l'ouverture de la recherche sur l'embryon dans des conditions strictes.
Le Premier ministre a indiqué qu'il était attaché à l'application de la loi relative à la bioéthique du 6 août 2004 et à la préparation, selon une approche humaniste et scientifique, de sa révision en 2009 ; après une évaluation rigoureuse. Il a rappelé que cette loi était porteuse, sur l'embryon humain, d'un équilibre qui était le fruit de travaux scientifiques, juridiques, éthiques et parlementaires très approfondis.
Sur des sujets qui, plus que d'autres, mettent en jeu une certaine idée de l'homme, une certaine vision de sa condition et de sa destinée, et s'agissant de choix qui impliquent les générations futures, le Premier ministre a souhaité que le débat public soit riche et vivant.
Il a ainsi demandé à Xavier BERTRAND, ministre de la santé et des solidarités et à François GOULARD, ministre délégué à l'enseignement supérieur et à la recherche, de lui soumettre avant la fin du mois d'octobre des propositions pour renforcer l'information et la formation de nos concitoyens sur les enjeux éthiques de l'évolution des sciences du vivant.
Source http://www.premier-ministre.gouv.fr, le 28 juillet 2006