Texte intégral
A l'invitation du sénateur Daniel Goulet, le Chef de l'Etat se rend lundi 19 mars 2001 dans le département de l'Orne, au lycée agricole de Sées pour présider une réunion de travail consacrée à l'épizootie de fièvre aphteuse. Ce sera pour lui l'occasion d'exprimer sa solidarité au monde rural touché par la fièvre aphteuse, se rendre compte sur place de l'évolution de la situation et de l'efficacité des mesures de protection qui ont immédiatement été mises en oeuvre par les pouvoirs publics et examiner les conditions d'une aide d'urgence aux éleveurs dans le cadre d'une solidarité nationale ou européenne.
Le 16 mars dernier, le Président de la République a reçu M. Bernard Vallat, directeur général de l'Office international des épizooties et le professeur Bernard Toma, titulaire de la chaire des maladies contagieuses à l'école vétérinaire de Maisons Alfort, pour examiner les données scientifiques de cette épizootie, ainsi que les dispositions les plus appropriées pour la circonscrire, et la faire disparaître.
Le Chef de l'Etat souhaite souligner que les conséquences humaines et financières de la fièvre aphteuse sont très lourdes pour chacune des familles d'agriculteurs qui ont été touchées, qui doivent être rapidement soutenues et secourues.
Mme Marie-José Nicoli, présidente de l'Institut national de la consommation a également été reçue, au cours de cet entretien, le Président de la République a souligné la nécessité d'une information objective et responsable, à laquelle les associations de consommateurs peuvent participer utilement.
Si heureusement rien n'indique que l'épizootie qui s'est déclenchée puisse constituer un danger en ce qui concerne la santé humaine, elle demeure pour le Président de la République et pour l'ensemble des pouvoirs publics un grave sujet de préoccupation.
Le Chef de l'Etat a estimé que la mobilisation de toutes les autorités engagées dans ce combat et la collaboration active de tous sont les meilleurs gages d'un endiguement de la fièvre aphteuse.
Le 16 mars dernier, le Président de la République a reçu M. Bernard Vallat, directeur général de l'Office international des épizooties et le professeur Bernard Toma, titulaire de la chaire des maladies contagieuses à l'école vétérinaire de Maisons Alfort, pour examiner les données scientifiques de cette épizootie, ainsi que les dispositions les plus appropriées pour la circonscrire, et la faire disparaître.
Le Chef de l'Etat souhaite souligner que les conséquences humaines et financières de la fièvre aphteuse sont très lourdes pour chacune des familles d'agriculteurs qui ont été touchées, qui doivent être rapidement soutenues et secourues.
Mme Marie-José Nicoli, présidente de l'Institut national de la consommation a également été reçue, au cours de cet entretien, le Président de la République a souligné la nécessité d'une information objective et responsable, à laquelle les associations de consommateurs peuvent participer utilement.
Si heureusement rien n'indique que l'épizootie qui s'est déclenchée puisse constituer un danger en ce qui concerne la santé humaine, elle demeure pour le Président de la République et pour l'ensemble des pouvoirs publics un grave sujet de préoccupation.
Le Chef de l'Etat a estimé que la mobilisation de toutes les autorités engagées dans ce combat et la collaboration active de tous sont les meilleurs gages d'un endiguement de la fièvre aphteuse.