Texte intégral
Je dois dire que l'Europe fait bien les choses : premièrement, parce que nous venions à Prague avec Carl Bildt et Mme Cecilia Malmström pour des raisons différentes, et que nous sommes finalement parvenus, avec nos amis tchèques, M. Schwarzenberg et M. Vondra, à lancer un programme de travail très ambitieux. Elle fait bien les choses aussi, parce que nous lançons notre programme de travail sous des auspices ensoleillés et dans un endroit absolument magnifique. Et je remercie beaucoup nos amis suédois d'avoir voulu prolonger leur séjour, même si, compte tenu de la beauté du temps et de la cité, ce n'était pas un drame absolu ! Mais je les remercie quand même d'avoir bien voulu modifier leur emploi du temps à cet effet.
Concernant le contenu de notre entretien : nous avons beaucoup discuté lors de cette rencontre. Nous sommes tombés d'accord sur la façon de procéder : c'est très important d'établir un programme de travail, comme l'a dit M. Vondra. Nous aurons une autre entrevue en marge du sommet de Lisbonne, pendant le prochain Conseil européen. Pendant la présidence, nous aurons beaucoup à faire en ce qui concerne la mise en oeuvre du traité. Il y a déjà eu de nombreuses présidences de l'Union européenne qui se sont occupées de cela, et il y a encore beaucoup de travail à faire.
Nous partageons trois priorités pour nos présidences : le premier, que nous voulons parachever le plus vite possible, c'est la mise en oeuvre du nouveau traité, car c'est très important d'améliorer l'efficacité de l'Europe et, comme l'a dit M. Vondra, chaque présidence aura beaucoup à faire pour le mener à bien. Ce sera une grande tâche. Le deuxième est lié au fait que nous sommes trois pays réformateurs. Nous voulons réformer l'Europe, pour faire d'elle un acteur global qui sera capable d'affronter les défis de la mondialisation. Comme l'a mentionné Cecilia Malmström, ces défis peuvent être ceux concernant la sécurité - tous les aspects de la sécurité, car nous avons exprimé là-dessus le même point de vue, l'énergie, le changement climatique, l'immigration. A ce sujet, nous devons tous faire face aujourd'hui à des problèmes démographiques et nous devons construire une politique d'immigration. Nous devons aussi nous occuper de la santé et de certaines maladies qui sont des menaces pour le monde entier.
Enfin, je pense que nous désirons tous trois, tchèques, suédois et français, impliquer les citoyens dans la préparation et le déroulement de cette présidence. Nous voulons que l'Europe soit plus proche des citoyens.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 25 septembre 2007
Concernant le contenu de notre entretien : nous avons beaucoup discuté lors de cette rencontre. Nous sommes tombés d'accord sur la façon de procéder : c'est très important d'établir un programme de travail, comme l'a dit M. Vondra. Nous aurons une autre entrevue en marge du sommet de Lisbonne, pendant le prochain Conseil européen. Pendant la présidence, nous aurons beaucoup à faire en ce qui concerne la mise en oeuvre du traité. Il y a déjà eu de nombreuses présidences de l'Union européenne qui se sont occupées de cela, et il y a encore beaucoup de travail à faire.
Nous partageons trois priorités pour nos présidences : le premier, que nous voulons parachever le plus vite possible, c'est la mise en oeuvre du nouveau traité, car c'est très important d'améliorer l'efficacité de l'Europe et, comme l'a dit M. Vondra, chaque présidence aura beaucoup à faire pour le mener à bien. Ce sera une grande tâche. Le deuxième est lié au fait que nous sommes trois pays réformateurs. Nous voulons réformer l'Europe, pour faire d'elle un acteur global qui sera capable d'affronter les défis de la mondialisation. Comme l'a mentionné Cecilia Malmström, ces défis peuvent être ceux concernant la sécurité - tous les aspects de la sécurité, car nous avons exprimé là-dessus le même point de vue, l'énergie, le changement climatique, l'immigration. A ce sujet, nous devons tous faire face aujourd'hui à des problèmes démographiques et nous devons construire une politique d'immigration. Nous devons aussi nous occuper de la santé et de certaines maladies qui sont des menaces pour le monde entier.
Enfin, je pense que nous désirons tous trois, tchèques, suédois et français, impliquer les citoyens dans la préparation et le déroulement de cette présidence. Nous voulons que l'Europe soit plus proche des citoyens.Source http://www.diplomatie.gouv.fr, le 25 septembre 2007